Quand les artistes se rencontrent~[PV Hector]

Une journée, semblable a une autre. Pourtant, le beau temps faisait fureur chez les marchands. Quelle chance ils ont... C'est dans ce genre de moment que Lokaï les enviée, elle qui avait du mal a se faire rien qu'un peu d'argent. Pourtant, devants les étalages elle s'arrêta, devant un marchand de tableaux. Ils étaient colorés, et était l'essence même de l'art.

Ses yeux s'arrêtèrent aussi sur le prix, et elle soupira. Elle n'avait pas les moyens de s'offrir de tels joyaux. Non, pas du tout même. Blasée, elle continua son chemin, ses yeux se baladant sur des objets plus beaux les uns que les autres. Stop, elle en avait assez vue.

D'un geste rapide, elle prit sa guitare et se mit a jouer, comme si son malheur n'existait plus et que ça joie de vivre reprenait le dessus. Elle enchainait tous ce qu'elle avait appris, dans les règles de l'art. Son souhait a l'instant était que quelqu'un est le même passe-temps qu'elle ou a peu près le même au moins. La pensée des tableaux lui revint en tête et elle avait raté un accord.

"Fais ch**** " cria t-elle et beaucoup la regardait déjà comme une bête de foire. Elle tira sa langue a la suite d'une jolie grimace et continua de jouer, comme si de rien n'était. c'était la, tout le charme de Lokaï. Elle en avait strictement rien a faire de ce qui pourrait se passer autour d'elle , elle était dans son élément ici. Elle hésita un moment en regardant un marchand, lui ferait-elle du charme pour pouvoir avoir de quoi manger ? Qui ne tente rien a rien.

Elle s'approcha, sur d'elle mais elle n'avait pas prévue qu'on l'a bouscule. Elle perdit son équilibre et tomba, se ramassant sur elle même. Personne pour l'aider, comme d'hab. Elle se mit a frapper dans le vent, rageuse. Elle en avait marre, et quand elle avait envie de crier eh bien elle crier.

" MAIS DEGAGEZ AU MOINS BANDE DE MERDEUX"

Tous ceux autours d'elle s'écartaient, peut être avaient-ils enfin comprit ? Ou avaient-ils peur d'elle ? ça, elle ne le saura jamais. C'est la qu'elle vit un jeune homme a coté d'elle, elle lui agrippa le genoux.

"Et toi, aide moi steu' plait"

Quand les artistes se rencontrent

Une fille particulière

Hector se baladait tranquillement, il soupira doucement en voyant les rues marchandes toujours pleines de gens différents. Il portait avec une légère difficulté son arme qui ne maîtrisait pas encore. Les tableaux exposés ça et là, puis une musique parvint à ses oreilles . La musique était agréable à entendre, malheureusement elle rata et le chevalier se mit à marcher dans sa direction afin de voir ce qui n'allait pas. Elle avait juré comme un camionneur. Il était là tout près d'elle. Elle se percuta contre quelqu'un, je la voyais se ramasser sur le sol. Elle criait sa rage contre les passants qui se pressait un peu trop autour de cette demoiselle. Elle avait un drôle de langage. Lui, n'avait pas peur, il avait vu pire que cela. Il croisa son regard. Elle le regardait avait besoin d'aide. Il sourit aimablement. Il tendit donc sa main. Il attendait qu'elle la prenne , il était plein de bonne volonté. Il sourit à cette dame, bien qu'un peu grossière, elle était mignonne.

-Bien sûr que je vous aide. Je n'ai pas envie que vous soyez éternellement sur le sol. Vous jouez bien, oui, j'ai entendu votre musique. Après vous avez raté une note. C'est un dommage, sinon vous avez très bien joué.

Hector sentait son âme d'artiste réveillé par l'intervention brutale de cette jeune femme, il se sentait prêt à lui faire un peu la discussion. Il sourit doucement à cette personne. Il tenait d'une main son épée. Elle tombait souvent, donc, il se montrait extrêmement prudent. Il serrait son arme tout en lui tenant la main pour l'aider. Il saisit la sienne et l'aida à se lever à court de patience. Au moins, cette dame était sur pied. Pauvre dame, il roulait des yeux. Il se sentait l'âme d'un peintre, alors qu'il avait ranger ses pinceaux pour suivre la route des chevaliers. Il ne regrattait absolument pas son choix, il avait pris cette voie en connaissance de cause, puis il s'amusait beaucoup à découvrir les limites de son corps. Il se sentait vivant que lorsqu'il s’entraînait et parlait stratégie avec ses supérieurs. Il sourit tendrement. Elle était plutôt son genre de fille, même si son langage laissait à désirer. Il rit intérieurement.

-Bonjour, je suis Hector Eric Loris Peterson, apprenti chevalier, enchanté de faire votre connaissance mademoiselle, c'est rare de voir une artiste telle que vous dans la rue, c'est bien, je n'ai pas à m'en faire pour l'art, il a ses représentants.

Hector souriait toujours lâchant un peu son épée, son arme, sa nouvelle compagne, celle qui accompagnerait sa vie pendant des années. Il était prêt s'entraîner après la visite de ce gars, il ne lâcherait pas l'affaire. Il pouvait être fier d'avoir choisi cette voie. Il serait à la hauteur. Il ferait tout pour. Il se relèverai de cette épreuve. Comme toutes les autres, le temps le rattraperai sûrement avant qu'il ai un poste important. Cela n'était pas important du moment qu'il pouvait aider les autres. Car il aimait beaucoup cela.

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-Bien sûr que je vous aide. Je n'ai pas envie que vous soyez éternellement sur le sol. Vous jouez bien, oui, j'ai entendu votre musique. Après vous avez raté une note. C'est un dommage, sinon vous avez très bien joué.

Lokaï ne rêvait pas, on l'avait aidée a relever. D'ailleurs, elle vit plus nettement le visage du jeune homme. Au moins une bonne âme charitable, ça change. La jeune fille s'étira en regardant celui qu'il lui avait fait un magnifique sourire. L'épée attira tout autant son attention. Le garçon la tenait d'une certaine manière, c'était perturbant.

Ce qui l'était encore plus, c'est cette manière de l'a vouvoyer, elle. Et surtout de lui avoir parler de sa fausse note. Elle n'aimait pas ça... Mais bon, elle n'allait pas non plus lui en vouloir pour ça.

Bonjour, je suis Hector Eric Loris Peterson, apprenti chevalier, enchanté de faire votre connaissance mademoiselle, c'est rare de voir une artiste telle que vous dans la rue, c'est bien, je n'ai pas à m'en faire pour l'art, il a ses représentants.

Oh, un compliment. La jeune fille n'était pas habituée, pendant un instant ça lui faisait plaisir. Et en plus, il n'avait pas tord, c'était de plus en plus rare de vivre de sa passion. Elle lui sourit simplement, le remerciant du regard. Puis, un long silence suivit. La jeune fille se mit a siffler, oubliant presque le jeune homme. Hector ? C'est ça ? Ah oui, c'est ce que j'ai crus entendre.

-T'es un chevalier hein ? Je me disais bien aussi qui a que des gens comme ça pour aider les autres. Et tu es plutôt mignon d'ailleurs...

Lokaï n'attendit pas la réaction du garçon et reprit :

- Moi c'est Lokaï, enchantée m'sieur le protecteur de la nation.

Elle lui tendit amicalement la main pour le salue, puis reporta son attention sur l'étalage d'autre tableaux, poussant des gens au passage. Elle était toute aussi émerveillée par la beauté de ceux-là.
D'autres couleurs, d'autres formes. C'était simple pourtant. Simple, mais émouvant, enrichissant.

Beaucoup ne l'a comprenait pas. Pourtant pour elle c'était si évident. elle se retourna un instant vers le jeune homme. Et lui, es qu'il comprenait ?

[Désolée de la qualité et du temps de réponse mais mon ordi bug trop, ça fait deux jours que j'essaie de poster]

Quand les artistes se rencontrent

Une fille particulière

Hector vit bien que son aide était apprécié, pour lui ça valait n'importe quel trésor. Le vent balayant ses cheveux bruns, le soleil faisant briller ses yeux dorés. Son épée n'était pas tombée, ce n'est pas tout de suite qu'il abîmera sa lame. Il n'avait pas très envie de toute manière. La jeune fille et ses cheveux coloré faisait plaisir aux yeux du jeune homme, il restait au fond de lui, un garçon sensible à l'art, sa voie avait changé pour suivre un rêve. Aider les gens était vraiment quelque chose d'essentiel pour lui. Il ne pouvait s'empêcher d'adorer de voir les sourire de bienveillance lui être adressé, il avait ça dans le sang. Même durant son enfance, il avait aidé sa mère devenant un peu le larbin de cette dernière. Cela l'agaçait un peu. Mais il adorait cette personne. Même si elle n'était pas sa mère biologique. La jeune femme releva ses dires. Il n'était qu'apprenti, mais être considérer comme chevalier à part entière par une étrangère lui était agréable. Elle ajoutait qu'il était mignon. Le chevalier se mit à rougir furieusement. Elle se présenta sous le nom de Lokaï, un nom particulier pour une personne particulière. Il lui sera brièvement la main par politesse avant de la voir s'extasier devant un tableau qui lui rappelait vaguement quelque chose. Il sourit en voyant l'art abstrait briller sans son aide.

-Je ne suis pas tout à fait un protecteur, je suis encore en formation, mais le compliment me touche mademoiselle. De joli tableau abstraits, faites attention la contre façon est si vite faite par des faussaire. J'espère que vous avez l'oeil.

Hector avait beau raccroché ses pinceaux, il arrivait des moments comme celui-ci où on pouvait entendre l'ancien maître s'exprimer, ces tableaux devait être au musé à l'heure qu'il était, heureusement, il avait signé sous un pseudonyme. Il avait laissé que de vague indices dans son art, comme tout artiste, il se découvre toujours à un moment ou un autre. Lui comme les autres n'en était à l'abri, la personnalité du jeune homme était plus compliqué qu'il n'y parrait, c'était un gars maladroit qui faisait d'énormes efforts chaque jour, une partie de lui disait qu'il y avait une partie de sa famille vivante, quelque part. Il pouvait le voir dans ses fugaces de l'avenir lorsqu'il portait ses lunettes, c'est elles qui avait mis un point final à ce chapitre de sa vie. Il avait tourné la page, maintenant il vivait pour la chevalerie.

-Je pense que serez capable de faire des tableaux aussi jolis que ceux-là, voir même plus joli que certains exposé. Il faut éveiller votre talent sans vous restreindre. Ne faites pas attention aux détracteurs surtout, il faut vivre avec ce qui vous plaît.

Hector avait quitté cette vie bohème avec plaisir, il s'ennuyait tellement c'était facile pour lui, il aimait les défis. Devenir protecteur des faibles semblaient être un défi de taille. Il était prêt à le relever avec toute sa hargne et la fougue de sa jeunesse.

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Le jeune homme semblait s'y connaitre en peinture, c'était plaisant. Un artiste, comme elle, Lokaï adorait ça. Elle avait envie de lui sauter au cou mais elle savait très bien que Hector ne comprendrait pas ça réaction. Mais, c'était juste terrible... !!

Elle le fixa droit dans les yeux et lui offrit son plus beau sourire. C'était dommage qu'il avait prit une autre voie mais elle était toute aussi respectable.

- Tu a l'air d'être une personne digne d'intérêt dans ce monde de fou, c'est plaisant.

Elle continua sa recherche de tableaux. Un lui rappelait sa vie d'avant, quand elle était entourée par sa joyeuse petite famille. Ca peut faire mal des fois l'art, quand des souvenirs remonte a la surface rien quand admirant les textures parfaites de la peinture a l'huile.

C'était une sensation bizarre d'être en présence de quelqu'un qui saurait vous comprendre. En tout cas, le jeune fille ne s'en plaignait pas. Même si ce jeune homme semblait fragile, il deviendrait sans aucun doute un bon protecteur au talent de peintre incontestable.

Lokaï se demanda un instant comment aurait sa vie si elle avait décidée de prendre une autre voie. Elle souriait rien qu'a cette idiotie.

- Tu dois être talentueux, j'aimerais un jour te voir a l'œuvre, si tu me fais ce plaisir. Après tout, tu ma vu jouer, a moi de voir ton talent !

Puis, son regard se reporta une nouvelle fois sur l'épée. Apprenti chevalier... oh, ce devait être quelque chose d'important...

Elle ne savait pas en faite, si il avait assez de temps pour faire un tableau, après tout, ça pouvait mettre des années.

La jeune fille se mit a rire d'un coup, avant que son envie de départ lui revienne. Sans prévenir, elle enlaça Hector.

-C'est fou, tu es comme les peluches, on a envie de te serrer tout fort tellement t'es chou... aaah, ça me redonne la bonne humeur tout ça !

C'est vraie, cette fille est spéciale, pourtant, elle savait bien que la était son charme. Elle osait tout, surtout exprimer son affection.

Mais elle ne savait pas comment réagirais le jeune homme...

Quand les artistes se rencontrent

Une fille particulière

Hector se retrouvait dans un situation assez unique dans son genre, ce n'était pas pour lui déplaire. Bien que plaire à une fille le gênait affreusement, une pouvait voir une de ses grimace à la fois drôle et attachante graver son visage. La jeune fille disait au chevalier qu'il était une personne digne d'intérêt, il se mit à rougir. Il était sensible aux compliments. Elle bougeait beaucoup, l'adolescent quand à lui n'osait bouger tellement il était gêné, il n'avait pas l'habitude de plaire. IL avait été ignoré par tant de fille autrefois, il n'arrivait pas à comprendre cette personne. Il serra son arme, elle était toujours dans son fourreau. Elle ne bougerai que si il y avait danger, bien qu'il ne soit pas très utile en cas d'attaque, encore un peu maladroit avec son arme, il débrouillait mieux avec des pinceaux. Il avait quitté cette vie, il ne devait plus pensé à ces moments totalement ennuyeux qu'il avait eu durant ses années où il avait choisis cette route de l'art. Elle parla à nouveau et lui disait qu'elle voulait le voir à l’œuvre, il se sentait pas si exceptionnel que ça. Il ne voulait pas l’embarrasser avec ses toiles à deux sous.Puis d'un coup, il sentit des bras le serrer. Il rougit furieusement. Elle le complimentait sur la douceur qu'il avait. Sa grimace déforma d'autant plus son visage.

-Euh... Merci, je suppose que c'est ce que je dois dire. Pour l'art, j'ai raccroché, mais je t'en ferai un si j'ai du temps libre à perdre. Par contre, je ne te promets pas une œuvre majeure, ça prend trop de temps et je n'aimais pas cela dans l'art, je m'y ennuyais beaucoup.

Hector était pris sur le fait, il devait s'expliquer, surtout que ces connaissances le grillait pas mal. Il le savait plus que tout. Mais il n'avait pas honte de ce qu'il avait été, il avait aidé tant de gens grâce à ses tableaux, toutes ses œuvres vendues pour guérir des maladie, il avait bien vécu cette période, il ne manquait de rien, mais il lui manquait un peu de piment, ce danger qu'il vivait à présent, il voulait se frotter à d'autre apprentis. Il voulait voir si il s'améliorait, une cible immobile était bien inutile, sur le champ de bataille, l'ennemi bougerait encore et toujours, l'attaquerait et le tuerait peut-être. Bien qu'il ne veuille pas mourir dans l'immédiat, il savait à quoi se frottait. Cette jeune fille le serrait dans ses bras. Il ne savait pas quoi faire, il n'avait jamais fait ce genre de choses, c'est à peine si on lui avait donné son premier baiser, alors le reste, il ne fallait pas s'imaginer. Il gigota un peu.

-Je suis navré, je ne pense pas être si doux que ça, enfin je pense, puis je suis d'abord un homme armé à présent. Tu est bien gentille.

Hector sourit doucement à la jeune fille. Elle était mignonne, mais s'accrocher à lui ne serrai pas bon, vu qu'il mettrait sa vie en danger.

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La jeune fille se mit a sourire quand il lui annonça qu'il lui ferait un tableau quand il en aurait l'occasion. Elle acquiesça au sujet d'une simple peinture qui ne prendrait pas de temps. Parfois, les choses les plus courtes suffisait a apportait du bonheur. En plus de ça, il avait enfin utilisé "tu".

Seulement, quand elle l'avait prit dans ses bras et qu'il s'était mis a gigoter, elle se vexa. elle n'aimait ce genre de "refus" qu'il la prenait pour une personne qu'elle n'était pas. Elle se recula, et poussa un "hm" pleins de dédain.

- Tu es armé mais décidément tu n'a pas de cerveaux. Pour qui me prend tu ? Je ne suis pas faible, bien au contraire. La rue m'a forgé un bouclier et mon épée a moi est le talent et mon don. Je n'aime pas qu'on me traite comme une enfant, je suis plus que ça, moi. Tu es quelqu'un de trop bien en faite, pardonne mon comportement mais je ne suis pas quelqu'un de "gentil".

Elle se retourna, elle avait les joues rouge, pourquoi ? elle ne le savait pas. Elle décida de se concentrer a nouveau sur les stands, autre que les tableaux. Elle fit en sorte de ne plus avoir le jeune homme dans son angle de vue, blessée.

Mais j'agis comme une gamine ou je rêve la...

Elle n'en revenait pas de sa réaction, ce n'était pas habituel, d'habitude elle réglée les problèmes plus brutalement, en y faisant face. La, elle ne se sentait pas la force de fixait le jeune homme. Elle était comme intimidée, honteuse, gênée.

elle secoua sa tête avant de se mettre sur le coté, un peu plus loin. Il fallait que ses idées reste en place, pas besoin d'un garçon qui l'attendrisse ou qui l'a considère comme une enfant.

Elle prit sa guitare pour jouer quelques morceaux. Quand la mélodie commença, Lokaï se mit a hésité un moment. Elle avait envie de faire le Chant de la Sirène et d'envoûtés les bons messieurs des stades. Personne l'en empêcherait de toute manière mais ça pourrait être considéré comme un délit. En fait, s'en était un, du profit, une arnaque, un vol...

Ses yeux croisèrent un instant ceux d'Hecto tandis que les cordes de sa guitare vibrées en même tans que sa belle voix. elle ne voulait pas le provoqué, elle avait un petit attachement pour lui.

Elle prit des grandes goulées d'air pendant un moment, elle ne savait pas comment agir tandis que beaucoup se regroupaient autour d'elle.

Commettre une injustice ou faire plaisir simplement ? tels était son dilemme, et les caractères opposé de sa guitare. Bien ou mal... Don ou talent...

Un autre regard, qui l'a fit perdre un instant son rythme. Il était vraiment trop perturbant, ce type la.

Il l'énervait, il l'a fascinée, tout était mélangé dans la tête de Lokaï. À croire qu'il avait le don de lui faire perdre les pédales... a moins que ce soit elle qui avait un problème. Là, elle se perdit dans ses yeux, arrêtant son chant. Tout ce qu'elle ressentait ne voulait pas forcément dire quelque chose mais en tout cas, le temps semblait figé pour elle.

Quand les artistes se rencontrent

Une fille particulière

Hector la regarda de haut en bas, elle était vexée par son comportement. Dans ces moments, cela se voyait qu'il n'était pas très doué avec les femmes en plus de n'être pas très habile avec une épée. Elle avait dit au chevalier qu'il était trop gentil pour elle. Il soupira doucement devant les mots de cette personne. Il n'avait rien de mal dans le fond, il avait été simplement naturel. Au moins, la grimace qui s'était formé sur son visage avait disparu. Il savait que son visage quand il était gêné, ce qui était très gênant. Vraiment les filles c'était une inconnue pour lui. Il n'arrivait jamais à se montrer sur son meilleur jour. Il entendit une musique, elle devait avoir repris son art. Les yeux dorés du jeune chevalier croisèrent ceux de la jeune femme. Il sourit aimablement, comme il avait l'habitude. Au moins, on pourrait pas lui reprocher de n'être pas attentif aux citoyens. Une dame lui donnait un papier, il le lisait rapidement avant de plier cette dernière pour qu'elle fasse une fleur. Il était toujours habile de ses mains quand il s'agissait d'art, c'était agaçant. Il devait tellement s’entraîner ne serrais-ce que pour savoir se défendre contre une personne normale. Il n'avait aucune chance contre un ennemi qui pratiquait un sport ou d'autres chevaliers. Puis la musique s'arrêtait elle le fixait, la grimace du jeune garçon se figea sur son visage. Il se demandait qui clochait chez lui.

-Tiens, un petit pliage, ce n'est pas grand chose, mais cela vient du cœur.

Hector faisait de son mieux pour ne pas vexé la jeune fille, sa grimace drôle sur sa face pouvait vexé la personne en face de lui. Il ne pouvait rien faire contre cette réaction de son corps, il était si gêné que son expression faciale empirait, ce qui le rendait un peu comique. Il tremblait un peu. Il ne savait que faire avec les filles, définitivement, avec les gens peut-être... Dire qu'il voulait aider, il avait cette volonté d'être utile pour le plus de gens possible, volonté qui lui avait été transmise par le sang. Il ne pouvait lutter contre sa nature profonde, toujours ce plaisir qu'il ressentait quand il sortait d'un mauvais pas quelqu'un d'une façon où d'une autre. Il sourit faiblement. Il n'aidait pas la jeune dame en face de lui. Qui plus est, il faisait si mal les choses qu'elle s'était stoppée dans son chant. Elle qui devait vivre de la générosité des autres pour survivre. Il n'était pas bien riche lui aussi et tout son argent partait dans du nécessaire pour se soigner, il se blessait souvent et très bêtement. On pouvait voir sur ses bras quelques pansements. Il n'avait pas honte de cela, il préférait montrer aux gens qu'un jeune chevalier pouvait les protéger de tout danger. Il se sentait tellement inutile en ce moment. Son cœur se sera douloureusement. Lui qu'il voulait pas être un handicap, le voilà en train de faire n'importe quoi. Il n'aidait personne dans cette situation, personne.

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La jeune fille avait regardé avec un sourire le petit présent. C'était petit et pourtant, ça l'a touchée. À croire que le pliage avait été comme son coeur, entortillé dans les mains du jeune homme.Elle avait rangé en silence sa guitare et avait serré doucement les mains du chevalier pour prendre le cadeau qu'il lui offrait.

Cette fois, elle laissa son regard plongeait dans ceux du garçon.

- on se connaît que d'aujourd'hui, je te fais un câlin et tu m'offres une fleur, soit c'est le monde qui n'est pas logique soit c'est nous qui sommes fous.

Elle riait aux éclats. Elle n'en revenait pas du fait que cette fois, ce n'était pas elle qui avait charmé son prochain mais bien elle qui s'était fait avoir par cet être au coeur énorme et à la bouille d'ange. Elle porta ses mains sur son coeur. C'était spécial, ce genre de moment. Elle ne vivrait pas ça une deuxième fois.

Elle laissa à nouveau ses pensées s'ouvrirent au jeune homme :

- Peut-être est l'art qui nous a mené a nous rencontrer...

Elle n'avait jamais vraiment songé au destin, c'était une chose si vaste et complexe mais là, à la rencontre de cet adolescent elle c etait retrouver en lui. Son talent mêlé à son ambition, c'était beau, c'était craquant. Pendant un instant, la simple pensée que le jeune homme puisse s'intéresser à une fille aussi bizarre qu'elle lui donna envie de crier. Ce ne sont que des chimères, elle devait se rendre compte de la réalité, elle que même sa famille n'avait pas accepté son changement.

-tu es si jeune, si maladroit, si mignon que je ne comprends pas comment tu arrives à faire vibrer mon coeur, comme j'arrive à faire avec ma guitare, tu dois être musicien au fond de toi pour pouvoir avoir un tel talent.

Elle s'avança vers lui et timidement, déposa un doux baiser sur sa joue droite. Elle souriait, elle rougissait, s'en était presque pitoyable. Elle était pitoyable. À la normale, elle n'aurait jamais laissé quiconque l'ébranler de la sorte.

- j'envie celle qui te sera chère à ton coeur.

Elle se retourna puis lentement commença une marche sans but. Elle n'avait pas les idées claires mais elle ne voulait pas plus dérangé Hector. Elle avait toujours un sourire aux lèvres, qu'elle n'était pas prête d'enlever.

Quand les artistes se rencontrent

Une fille particulière

Hector vit son sourire, son cadeau faisait plaisir, c'était déjà ça de gagner. Il était pardonné pour sa maladresse ? Il n'en savait rien, les mains de sa jeune fille avaient frôler les siennes, le jeune homme s'empourpra quelque peu. Les yeux de la jeune fille croisèrent ceux du chevalier. Elle disait que le monde n'est pas logique car il s'était passé des choses entre eux, ce n'était pas grand chose, puis l'être humain n'est pas logique parfois. Le rire de la demoiselle rendait le véritable sourire du jeune homme. Elle évoquait vaguement l'art, l'adolescent posa une main sur l'épaule de cette jeune fille, sans aucune arrière pensée. Il la regardait avec toute la bonté dont il était doté. Elle disait des choses, comme si elle avait beaucoup souffert de sa particularité, voulant aidé le jeune homme resta pour entendre la fin du discours. Il n'était pas musicien, il était assez doué avec une guitare, tous les domaines artistiques semblaient être fait pour lui, mais son mental lui avait choisit cette voie dangereuse. Avoir des facilités rendait la vie ennuyeuse, peut-être quand il serait vieux, il reprendrait ses pinceaux et peindrait pour vivre avec aisance, mais il avait le temps pour y penser. Il sentit un baiser sur sa joue, il rougit à nouveau, une petite grimace drôle sur son visage, il était à nouveau gêné. Il n'avait vraiment pas l'habitude de plaire. Elle déclarai sa flamme. L'adolescent ne savait que faire, elle partait dans un direction. Il se sentait extrêmement timide. Devait-il la rattraper ?

-Lokaï... Tu est une jolie fille, vraiment, tu est spéciale, mais ça fait partie de ton charme. J'ignore comment agir, c'est bien la première fois que je plais comme cela.

Il avait dit ça en butant très fort sur chaque mot, ses joues chauffées au rouge. Il savait vraiment pas comment s'y prendre avec cette personne, les gens en général, on l'avait jamais dit qu'il était beau, elle non plus, mais on disant ces mots, Hector avait compris qu'il pouvait plaire. Son expérience avec les fille se limitait à sa meilleure amie, elle devait bien être loin à l'heure actuelle. Il secoua sa tête essayant tant bien que mal de faire disparaître cette grimace digne d'un numéro de cirque. Il était perturbé, il se pensait si ordinaire qu'il lui était jamais venu à l'idée de tomber amoureux, pourtant c'était une chose naturelle. Il appréciait la jeune fille, elle était gentille dans le fond, même si dernière prétendait le contraire. Cela ne faisait aucun doute pour le chevalier, il avait du bon en cette demoiselle. Il mit une main sur son arme. Il y a quelques mois, il n'aurait jamais cru qu'il serait armé et qu'une fille s'éprendrait de lui. L'apprenti combattant n'était au bout de ses surprises. Il sourit en marchant à son tour. Il n'avait peur de voir ce que pourrait donné cet amour. Il ne connaissait rien de tout ça. Il pourrait narguer cet érudit, cet enfoiré qui n'arrêtait jamais de l'insulté pour sa simplicité d'esprit.

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la jeune fille avait toujours les joues rougissantes. Elle continuait sa marche, en plein dans ses pensées Peut-être n'avait-elle pas pu récolter le moindre sou, charmer de son chant un marchand pour les beaux tableaux mais elle avait rencontré ce jeune homme et c'était suffisant. En une journée il avait réussi à embellir le petit monde de la musicienne.

Ça n'avait pas de prix à ses yeux et si un jour elle pourrait lui rendre ça, elle le ferait. Ça lui faisait mal au cœur de fausser compagnie à l'apprenti chevalier mais l'importuner davantage serait mal vue. En plus, elle se sentait mal, gênée...

Lokaï ne se comprenait pas elle-même. Jamais elle n'avait connu un sentiment tel que l'amour et c'était à peine si elle avait déjà ressenti de l'amitié pour quelqu'un...Les seuls à l'avoir aimé étaient ses parents et sa sœur jumelle et elle l'a jamais rendu, et amour. Dans la rue elle s'était senti coupable d'une telle monstruosité de sa part mais elle n'avait jamais songé à revenir en arrière.

Pourquoi ? tout simplement car elle n'aurait pas supporté un autre regard remplit de reproche, elle en serait devenue folle. Alors bien sûr, c'était nouveau, qu'un jeune homme l'ayant vu sans même la jugeait, sans même la critiquée vienne prés d'elle.

Les plus belles histoires commençaient-elles ainsi ? Elle qui avait peur de s'imaginer dans les bras du chevalier, se sentant en sécurité et prête à affronter le danger mais elle y prenait aussi du plaisir, à se voir ainsi. Ce serait tellement surréaliste de mettre dans les mains d'un garçon de tels espoirs alors qui n'avait rien demander, lui.

Elle ne saura jamais si c'était un autre coup du destin ou un hasard mais elle avait décidé de se retourner, dans l'espoir d'échanger un regard. Et il était là, juste derrière elle. Ce moment la surprit tellement qu'en voulant faire un tour sur elle-même sa chaussure dérapa. Elle resta un moment au sol, grimaçante. Ça devenait une habitude de perdre de pied... Ah ah. La jeune fille due pensait a mille choses différentes pour éviter de trahir son regard. Et pourtant, au fond elle souriait, cachant ses espérances et ses joies en un simple étonnement de voir le garçon.

-Hec...Hector..?

Quand les artistes se rencontrent

Une fille particulière

Hector s'était mis à marcher malgré lui, les jambes qui tremblaient un peu, il se sentais vaciller à chaque pas. Comme si il était sur un bateau qui voguaient fièrement sur les flots. Il n'abandonnait pas la bataille contre son corps qui faisait n'importe quoi. Il devait être fort pour protéger les citoyens. C'était son devoir à présent, bien qu'en formation, il devait faire honneur à ses supérieurs en se montrant digne, même perturbé par cette femme. Il plaisait, et ça me rendait tout chose. Comment devait-il agir ? Il savait déjà avec certitude qu'il savait pas draguer, bien trop maladroit et gêné pour le faire. Qui plus est son visage se déformait à chaque fois comme un automatisme qui s'enclenche à chaque fois qu'il est trop gêné. Il aiderait le monde par sa force et surtout par son courage. Il savait qu'il ne serait pas puissant, mais il avait cette sensibilité en lui, il ferai tout pour la garder et ce le long de sa vie. C'est ce qui le rendait unique parmi les chevaliers. Elle se tournait vers lui et tombait à nouveau, cette femme n'était pas adroite non plus. D'un côté, ça lui donnait un côté assez attachant, il pouvait en faire autant de son côté. Il s'approcha d'elle et lui sourit aimablement, il entendit sa voix. Il ignorait ce que cette fille avait en tête. Mais il sentait que ce qu'elle dirait pourrait changer sa vie. Son cœur se serra et pensa à cet érudit, celui avec lequel il se disputait avec force. Que lui dirait-il si il savait qu'il plaisait, il lui dirait sûrement que la dame n'était pas très exigeante. Ce maudit gars, il allait lui foutre un poing de sa face d'ange. Il secoua un peu sa tête, depuis cet enfoiré avait une face angélique ? Où allait le monde franchement. L'artiste des rues à ses côtés étaient bien digne de son intérêt, qui plus est, elle devait apprécié sa compagnie. Il rougit à nouveau quand il y repensa. Il ne voulait pas l’embarrassé, avec ces gestes, alors il restait à distance raisonnable de la demoiselle, ses yeux se baladant sur son visage. Il n'était pas homme à remarqué les tours de poitrine, il préférait se consacrer à la personne, et ce sans arrière pensée. C'était ainsi qu'il s'était découvert une bisexualité, homme ou femme, pour lui, la personne qui volerait son cœur saurait cette blessure qu'il cachait sous sa gentillesse. Il le faisait car il aimait ça, mais avoir perdu sa vraie famille l'avait un peu brisé.

-Oui ? Tu as quelque chose à me dire ? Je t'écoute, je suis là pour ça. J'aime entendre les gens parler, c'est agréable.

Hector parlait toujours avec aisance, mais c'était un bon entendeur, il avait réglé tellement de soucis, qu'il pourrait la conseillé si ça le concernait pas trop cependant. Là, il était le pire des conseillers. Il sourit doucement à la jeune fille ses yeux jaunes pétillant un peu sous les rayons du soleil et les joues roues à cause de sa timidité sentimentale.

codage de whatsername.

Sujet: Re: Quand les artistes se rencontrent~[PV Hector]

» C'est la vie ~ Hector
» Pas de course, pas de resto, c'est quand qu'on mange?
» « Dis maman, quand on meurt, c'est pour toute la vie ? »
» Depuis quand on embauche des livreuses privées à Lohendra... ? [PV mama Nothy ♥]
» Proposer un verre à un vieil ami est un plaisir! Surtout quand le patron vous offre le tout

Quand les artistes se rencontrent~[PV Hector]

Quand les artistes se rencontrent~[PV Hector]

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