La mentalité d’Edwina…une façon de pensée pas si compliqué à comprendre :

Elle aime le thé, les desserts, les jeux, ne rien faire. Elle n’aime pas les filles trop commère trop superficiel, les homophobe, les crétin tout court... bref elle veut vivre sa vie tranquille,  sans rien, le calme quoi.. Au fait, retenez bien ceci car cela peut peut-être vous aider à communiquer avec elle, oui Edwina est le genre à «tu me parles, je te rabaisse» car elle n'est pas très sociable avec les gens, à cause de son passé elle a développé une sorte de carapace « repousse tout le monde » en limitant les attachements, ce qui explique son sale caractère. Ce qui lui fait tout de même un caractère bien froid pour son d’apparence, en fait, le caractère et l’apparence d’Edwina sont deux choses bien différentes. Pourtant Edwina est une jeune fille gentille, qui peut parfois être attentionnée si on ignore sa stupide fierté assez importante et son égoïsme, ce qui fait beaucoup d'étincelles avec certaines personnes.. Elle mange beaucoup aussi, elle se fait plaisir tranquillement, elle ne veut pas se priver de tout. La Phantom est aussi très susceptible sur sa taille, dites-lui qu'elle est petite et c'est la crise qui va arriver. La demoiselle a aussi parfois un caractère qui peut passer de la jeune femme à la gamine capricieuse et impatiente car elle déteste attendre, elle est aussi mauvaise joueuse et part au quart de tour quand elle perd mais aussi quand on l’insulte ou qu’on la provoque. Elle n'en fait aussi qu'à sa tête car madame est têtue. De plus, elle blesse les gens sans le faire exprès car elle ne fait pas attention à ce qu’elle dit : Edwina dit ce qu’elle pense et c’est tout, donc à la fin cela finit en lettre d’excuses qu’elle est obligée d'envoyer, le genre de la maison elle ne dira jamais qu'elle vous apprécie car elle a sa fierté, pensez-y. Sinon Edwina peut être une bonne amie… Quand on apprend à la bien connaitre. Bon en vrai, elle est timide avec les gens, mais va pas le hurler sur tout les toits quoi...

Edwina Phantom est une jeune fille qui a un certain charme mais son caractère qui casse tout. Elle a encore des traits d’une enfant malgré son caractère d’adulte qu'elle a parfois. Elle a des cheveux noirs qui, parfois, donnent un joli violet à la lumière, à vous de voir. Ils sont longs, très longs, si bien qu'elle doit demander de l'aide pour les coiffer, et une frange en guise de mèche. Ses yeux sont d'un violet très profond dans lequel on voudrait se noyer. Sinon que dire d’autre…. Ah oui elle n’est pas petite ! Elle a juste un petit souci de croissance c’est tout, elle est aussi très légère avec sa taille très fine. La demoiselle a la peau pâle ce qui montre le nombre de sorties très rares qu'elle fait. Sinon, niveau vêtements, la jeune filles habille très noblement, elle fait attention à son apparence. pour donner une bonne image donc des robes s'imposent, elle se fiche un peu de leur taille du moment que ça lui plait tout va bien. Pas de pantalon, short encore mais bon elle préfère la robe ou les jupes. Elle porte très peu de couleurs bonbons, mais elle peut bien parfois faire tord à ceci. Elle porte des chaussures normales féminines rarement à talons. Elle n’hésite pas non plus sur les accessoires, comme les rubans pour le col, les froufrous, les chapeaux, etc.… Mais sinon Edwina n’est pas non plus une originale juste à la mode anglaise car il faut faire beaucoup pour plaire à la société de cette ville et faire bonne figure devant les dames et les hommes aussi mais bon avant tout faire honneur à la famille.

Si seulement, j’avais pu être un homme, cela aurait était tellement plus simple.

Deux personnes heureuses qui attendaient un merveilleux événement, l’héritier de la famille. C’est sûr que c’était toujours un moment magnifique que d’attendre un enfant. La mère faisait toujours attention à ce qu’elle mangeait, de ses efforts, de tout en faites. C’était une personne tellement désiré pour cette famille sans enfant. Pourtant, mon seule pêché dans cette histoire, c’est d’être née femme.

Dans cette société presque écœurante, ou plutôt dans cette famille, la femme n’est là que pour les enfants, la bouffe, et écarter les jambes. Je détestais ça, bien que j’étais un peu trop jeune pour comprendre ça. Mais, reprenons là où je me suis arrêté. Lors du jour tant attendu, la naissance est arrivée durant la nuit. Bien sûr, ce n’est pas de chance il n’aurait jamais du jouer au loto cette famille bien barge. Quand ils ont vu le nouveau né, horreur sur le visage du père, il n’a pas le service qu’il faut. Eh oui, tellement sûre de leurs perfection, qu’ils ont pas pensé faire une échographie. Sur leur visage, ce n’était pas le même amour que si j’avais été un homme. Bien sûr, il fallait bien me garder, il c’était tellement vanté d’avoir l’être parfait, qu’il fallait le montrer.

L’idée de me travestir était la première chose que ce couple à pensé, après tout on verra rien au début, mais à la fin… ? J’avais un visage trop efféminé qui se montrait quand je vieillissais. Les cheveux longs, les robes, et les peluches sont des choses qui m’étaient strictement interdite. Enfin, c’était normal pour moi, vu que quand t’es gosses tu gobes ce qu’on te dit. Mais, je n’avais pas le droit d’avoir d’ami, car je ne suis pas normal. On me le hurlait tout le temps quand je faisais une bêtise

« Tu es une erreur ; Pourquoi tu n’es pas normal ; Arrête de me regarder comme ça, tu devrais mourir ; Horreur ; Va en enfer ; Tu gâche tout ! »

Un déchet, c’est ce que je suis pour cette famille. A mes 6 ans, mes parents, enfin les choses qui me servaient de parents, ne pouvait pas supporter cette situation plus longtemps. Dans la nuit, alors que je me levais pour aller aux toilettes, je les entendais parler avec un médecin, préparant une soi-disant expérience pour rajouter et retirer des choses dans mon corps. Je ne comprenais pas bien quand j’étais enfant, mais j’avais peur.

Le jour J pour les géniteur, on a voulu me trainer vers l’hôpital, mais je me suis débattu et je me suis caché dans la grande maison, ces adultes avaient tellement pesté ! Mais, c’est que c’était têtue ces bêtes là… A chaque fois, je me cachais de façon à ce que personne ne me trouve, mais à force, les cachettes on commencé à se réduire de plus en plus. Je commençais à perdre espoir quand même, car mes chances de fuites aller vers le chiffre nul.

Pourtant une lueur, ou plutôt un héro les a bien calmé, ça leur apprendra tient ! Le majordome de cette femme, n’aimait pas du tout la façon dont j’étais traitée quand même, car ouais ce n’est pas humain de faire subir une tel opération à sa fille pour avoir un garçon. Il faisait semblant de chercher quand il me trouvait. C’était la seule personne que j’appréciais le plus, car lui m’aimait comme je suis.  

Mais, ce n’était qu’éphémère, la daronne avait bien compris qu’à force son propre personnel se fout de sa figure. Ne lui faisant plus confiance du tout, elle décide un jour de chercher là où soi-disant l’homme à tout faire a cherché. Sa surprise était tellement grande, qu’elle a hurlé sur moi et l’homme. Mais, maintenant qu’il m’avait trouvé, il fallait bien m’embarquer.  Mais, il n’était pas d’accord, hurlant que des parents ne devraient pas faire subir cela à une petite fille.  Une gifle le frappa, la barge ne supportait pas du tout son ton, ce n’est qu’un insecte pour elle, les insectes ne lui parle pas comme ça.

« Eh bien, excusez moi reine des folles, mais l’insecte que je suis va se permettre de vous pourrir l’existence comme ils ont souvent l’habitude de le faire. »

Il me saisissait et parti en courant en me tenant contre lui, sur le coup j’étais rassurée, mais à la fois terrifiée. Voir ma mère hurler et voir des hommes nous poursuivre c’était assez drôle quand même. Mon sauveur courrait comme il pouvait,  s’ils nous attrapaient c’était sûrement sa fin pour lui.  Mais, il n’était pas bien bêtes, il descendit doucement une falaise pour se cachait dans un creux, c’était ma cachette spécial fuite de famille ! Le majordome jetait une pierre pour faire croire qu’on avait sauté dans l’eau. Il ne fallait pas faire un seul petit bruit quand les mecs étaient en haut à nous chercher.

On peut dire que la vie avait commencé ici, dans cette falaise. Monsieur Phantom m’emmena chez lui, après tout il n’allait pas délaissé le paquet que je suis, qu’il c’est embêté à sauver aussi ici en pleine nature. Quand j’ai posé pied chez lui, j’étais surprise qu’il vivait dans un appartement aussi grand.  C’est vrai que pour moi ce type n’avait pas de vie, surtout pour s’occuper d’une femme pareil. Quand je commence à avancer pour explorer l’endroit, je percutai une jambe d’un autre homme. Sur le coup j’avais pas mal flipper quand même, enfin j’avais pas pour habitude de rencontrer des gens comme ça dans les maisons.

« C’est qui ça ?
- C’est Leo, la petite que je t’ai parlé à mon ancien boulot…
- Comment ça ancien boulot ?!
- Je t’expliquerais plus tard… »

Je regardais les deux hommes qui se regardent, on peut dire que je fais un peu tâche quand même entre les deux. Puis surtout, le temps que je pige que le mot femme est un mot rare chez eux. Je vécus chez eux, enfin ils m’ont comme adopté. Comprendre que les deux n’était pas amis, ni frère mais une chose qu’un homme et une femme sont, était assez dure au début. Mais, j’ai fait comme de rien n’était, papa et papa sont deux personnes géniaux.

« Leo,  ça craint comme prénom, faut te trouver autre chose.
-…. ?
-Edwina ! Voilà comme ça que tu vas t’appeler, j’avais appelé mon poisson comme ça gamin !
-… T’aurais peut être pas du dire d’où vient ce prénom, Dean. »

Dean, c’est le papa dominant, toujours à prendre à la Osef, la maison était à son nom et tout en fait… Akio est un peu la maman de la situation, toujours là pour soupirer et lui remonter les bretelle. Bien qu’il cache un sale caractère le matin. Je me demande comment ma… Génitrice supporter un homme comme lui le matin.

Ma vie prit le meilleur tournant au monde, je vivais avec mes deux papas, bien que je ne pensais pas qu’une noirceur exister pour moi maintenant.  Lorsque l’adolescence me toucha, il est vrai que j’avais un sale caractère, à me disputer tout le temps avec papa Dean. Je le trouvais trop collant avec moi, bien que pourtant ce n’était qu’une protection paternelle. Je n’étais qu’une idiote. Papa Akio était une personne faisant partie des érudits… Mais je ne comprenais pas l’importance de son travail. Encore une fois, je n’aurais peut être pas du naitre comme une fille, pour ne pas les faires souffrir.

Je me souviens encore de ce jour comme-ci c’était hier, j’ai emmerdé mon père toute la journée pour m’emmener faire les soldes… Bien sûr, il craqua rapidement… Je n’ai même pas était reconnaissante de ça. Comme d’habitude, j’ai explosé sa carte bleu, comme d’habitude je ne disais même pas un petit merci. En plus, je ne lui laissais même pas le temps de regarder pour lui. Une vraie peste, je sais, puis nous devions rentrer, il neigeait ce jour là. Beaucoup de bouchon, et le pire c’est que je lui disais d’aller plus vite, je le stressais. Puis à force, il a finit par me crier dessus, les nerfs qui explose…. Je me suis braquer, et alors….

« DE TOUTE FACON T’ES PAS MON VRAI PERE ! »

J’ai fais de gros yeux, et lui aussi… A cause de mes paroles, il a perdu l’attention sur la route, et nous avons était viré du chemin en percutant une autre voiture… Je me souviens juste que sa bougeait beaucoup dans la voiture… Avant de perdre connaissance.

Quand je perçus le plafond blanc de l’hôpital, je me suis réveillé en sursaut. Papa Dean était là, je clignais des yeux. Il me serrait comme un vrai père qui a eu peur. J’avais quand même eu très peur moi aussi ; mais ce n’est pas ça qui me préoccupait vraiment… Je voulais papa Akio… On m’y mena, bien sûr que je regrettais cette action…. Mes paroles n’étaient même pas pensées sur le coup. Quand j’ai ouvert la porte en l’appelant, j’ai vu ma bêtise en pleine figure…. L’homme qui avait tous donné pour moi, qui avait plaqué son boulot, sa vie je dirais pour moi…. Etait dans un fauteuil roulant… Juste par la faute de mon égoïsme pur. Je n’ai fais que baisser la tête, pas de pardon, rien ne me venait vraiment en tête…. Pourtant, je sentis la main de cet homme que j’ai détruit me caresser la tête doucement.

« Tu es en vie, me voilà soulagé. »

Dit-il avec son sourire sempiternel, mes larmes montaient de plus en plus. Je suis qu’une fille faible et égoïste….  Et pourtant, l’homme qui me considère comme sa fille me serre contre lui comme soulagé que je sois vivante…. Pourquoi ne me hurle-t-il pas dessus ? Pourquoi…on me pardonne tout… Dispute moi…Engueule moi…. Frappe moi-même, je sais que je suis une erreur… Je n’aurais peut être pas du naitre comme la fille que je suis…. Mais, cet homme ne m’a rien fait…. Papa prenait son handicap à la rigolade, travailler à la maison le dérangeait pas vraiment… Je m’en voulais tellement…

Mais, grâce à cela, je suis devenu plus sympas avec papa, bien qu’avec les autres c’est une autre histoire. Depuis l’accident, je me suis dit que faire le boulot de papa doit être pas si mal pour moi… Bien que je n’ai pas de totem…. Il viendra avec le temps, mais j’ai peur que même mon propre totem ne veut pas de moi….

Bon, après cette année là, je suis devenu vivable pour mes parents, mais pas pour les autres, faut pas pousser quoi ! Bien que bon, papa dit que je dois faire un effort…. Pourquoi moi ! Bref, c’était ma super vie de merde,  content de le savoir ?