Hmm, Expliquer ma psychologie ne se fait pas aussi facilement, et quelques lignes ne sera jamais suffisant pour ceci. Comme vous l'aurez sans doute compris, je suis quelqu'un de sur de mon fait et n'aimant pas qu'on le sous estime. Je sais ce que j'ai accompli dans la vie et rien ni personne ne pourra jamais me l'enlever. En général, je suis quelqu'un de plutôt décontracté et les citadins de Toki ont un très bon avis sur ma personne car je suis droit, sincère et très stricte envers eux, mais encore plus envers moi même. Je suis une personne d'honneur, et ne tolère pas que la galanterie et la courtoisie soit prise avec légèreté. D'autant plus lorsque j'endosse mon rôle de capitaine de Toki. Dés l'instant que je redeviens simplement Elyas Denym, et celui à un gros point noir dans sa personnalité.

Je méprise les femmes. Du moins toute celle n'ayant pas mériter mon respect. Aussi étrange que cela puisse paraître, et malgré toute les facilités du monde que j'ai pour me faire apprécier d'elle, j'ai connu trop de mésaventure pour que j'accorde à leur beauté toute la reconnaissance qu'elles méritent. Dés lors, je suis un prédateur mais non pas chasseur. Je m'amuse à jouer avec sans jamais aller au bout des choses.

Malgré ce point noir, nous pouvons uniquement lui reprocher une trop grande droiture et une intolérance à l'irrespect des règles de chevaleries.

Pour sortir un peu du cadre très psychologique et venir à des choses simples, je raffole des pommes, je pourrais en bouffer à en crever et il n'est pas rare de me voir patrouiller dans la ville avec une Golden dans la main. Ayant aussi garder une certaine insouciance dans la vie de tout les jours, je suis aussi très friand de défis et autre aventure, tant que ceux-ci ne m’amène pas trop loin de ma ville. Je ne rechigne jamais à un duel sous les règles chevaleresques. Pour les choses que je déteste, on peut retrouver l'injustice, les plats et fruits acides et plein d'autre petite chose que vous aurez à cœur de découvrir IRP.

Mon Physique ? Et bien... Je suis quasiment parfait. Mesurant un mètre quatre vingt-dix pour quatre vingt-six kilos, je suis quelqu'un de très bien musclé et est tout ce qu'il faut là où il faut : Abdos, biscotos, rototo.... Concernant ma corpulence, les proportions de mon corps sont tout aussi excellentes, hormis au niveau des bras qui semblent interminables pour un humain normal, ce qui me donne une allonge immense en combat. Concernant mon visage, celui ci est fin et est l'hôte de yeux de couleurs marrons et qui me donne un regard perçant. D'autant qu'un léger grain de beauté légèrement sous mon œil gauche me donne encore plus de crédibilité et a troublé plus d'une demoiselle, ce qui m'a valu plus d'une peine... Pour finir ceci, ma coupe de cheveu laisse un effet ébouriffé avec une légère mèche qui se rebelle.

 
Né il y a 42 ans dans une famille plutôt modeste, voir disons le clairement, pauvre. Et à durant toute cette période de ma vie était totalement à l'encontre de la morale que je m'efforce de faire tenir dorénavant. Ironique hein ? N'empêche que sans ses journées (ou plutôt nuit, sinon on se serait fait chopé. Pas con hein, pour des gosses de 11 ans ?)où je sortais faire mes petits casse, je ne pensais qu'à subvenir au besoin de ma famille. Et puis, vous plaignez pas trop, sans un de ses cambriolages de fortunes, je n'aurais jamais trouvais trouver mon totem... En effet, alors que nous étions partis pour récupérer de valeurs au sein d'une maison d'un soldat d'un ex chevalier. Au fin fond de sa cave, quelque chose semblait comme m'attirer. Ma sœur ne voulait pas qu'on descende mais à 11 ans, vous vous doutez bien que la curiosité a pris le dessus sur toute solution raisonnable possible et rationnelle. C'est ainsi que nous y sommes descendus et qu'une fois arrivé en bas, mes yeux prirent leurs positions sur une lance, et ne la lâcha plus. Je peux vous dire que ce fut le plus grand jour de ma vie. Et ma vie, c'est ce que je vais vous raconter, et cela risque d'être compliqué... Oh merde, c'est ce que je fais ! Bon bah je fais un résumé hein, ça vous va ?

Le premier moment véritablement important de ma vie fut donc la découverte de mon totem dans les appartements d'un ancien chevalier . Elle aurait bien aimé le trouvé aussi vite que moi. Elle devra attendre bien plus tard (ses 23 ans exactement), mais ce n'est pas d'elle qu'on parle ici, c'est moi ! Bien, mais de toute façon, nous étions tout les deux dans la galère, car nous nous sommes fais chopés. En effet, mécontente que j'aille trouvé un butin ayant plus de valeurs à mes yeux que tous ce qu'elle réussissait à trouver, ma sœur voulu me "piquer" ma lance, invoquant  le propriétaire nous choppa en pleine fuite. Il remarqua immédiatement le "soucis" qui faisait que je tentais de me barrer avec une lance encore plus grande que moi et accepta/força à faire un marché avec lui. Il acceptait de nous laisser partir et en contrepartie, nous devions rejoindre l'école de la milice dés le lendemain... C'est quoi ce marché de dingue ? C'est le genre de mec à faire les rues avec des Flyers de promotion de l'école de chevalerie ? De toute façon, nous avions pas le choix, et surtout, il nous faisait entrer à l’œil. Sachant que le prix de celle ci était clairement impayable pour ma famille, et encore moins pour nous deux.

C'est ainsi que le lendemain, et pendant les 10 prochaines années nous avons passés notre vie auprès d'anciens chevaliers. Ce qui nous forgea notre caractère respectueux de l'ordre et des règles de vies. Mais l'adaptation fut difficile, n'étant pas vraiment accoutumer à être du bon coté de la barrière. D'ailleurs, c'est à cette époque que les soucis avec la gente féminine, qui me trouvait pour les professeurs à croquer, et les demoiselles étant étudiantes ici. Nos parents décédèrent a peines quelques mois après notre entrée dans l'école de maladie, il n'y avait au final qu'une seule fille/femme qui compta à partir de ce moment dans ma vie, et c'était bien évidemment ma sœur. Était-ce si compliquer à comprendre que la personne qui compte le plus soit la dernière partageant le même sang que moi ? A écouter les filles de cette école, il faut croire. C'est ainsi que mes déboires amoureux ont commencés et que j'ai aussi compris que la jalousie est loin d'être sympa... Entre les menaces de mort dont ma sœur étaient la cible et les crises que pouvaient me faire ces filles, vous pouvez comprendre que je ne vois plus d'un très bon œil qu'une fille tente de m'approcher...

D'ailleurs, une fois celle-ci terminée, nous quittâmes la ville et commençâmes une vie d'aventurier en duo. D'autant plus que nos parents furent morts durant et donc nous nous retrouvions totalement à la rue. Nos talents aux combats comme seule aptitude réel. C'est ainsi que nous avons décidé de devenir aventurier. Vivant comme des âmes errantes les premiers jours, nous avons réussis à nous faire une réputation, et même gagner un surnom :"Les Chevaliers Errants de Toki." Vachement originale, avouez ? M'enfin il pète, c'est le plus important. Celui-ci nous a tenu durant les 15 années passées en tant qu'aventurier. Rien de bien extraordinaire malheureusement, faisant le tour de l'île très (trop) vite, en connaissant les coins et recoins du pays, la lassitude me gagnant à vitesse grand V. A cette époque, peu de chose m'intéressait encore sur cette île, et le fait d'amasser une grande quantité de trésors et souvenirs d'aventure

Dés l'instant où mon retour fut annoncés, la populace m'acclama comme un héros. Bon j'en étais un certes. Mais plus dans le sens aventurier du titre que celui solennel qui voudrait que j'aille sauver des gens. Bah qu'importe, j'étais aimé par le peuple, c'est tout ce qui m'importait à ce moment. D'autant que l'on me proposa à mon retour le poste de Lieutenant à cette époque. Je fus honoré de celui-ci et l'accepta volontiers, car comme vous le savez : Seuls les forts imposent leurs règles.

Ce poste me fut confié un long moment. Et c'est à cette époque que je devins aussi à cheval sur les règles. D'autant que j'allais découvrir un vice qui nous tombe facilement dessus une fois que l'appelle de l'argent sonne à notre porte : La corruption. Cela m'a prit plusieurs années avant de rassembler assez de preuves pour le faire tomber, mais comme toujours, la justice triomphe toujours... Ou presque.

Le précédent capitaine fut destitué de son titre, et les hautes autorités cherchèrent une personne de talent pour reprendre son flambeau. Et étant de retour avec une réputation grandissante après cette affaire et venant moi même de Toki, jouissant donc d'une grande sympathie auprès des habitants de la ville. Le maître d'arme qui s'est occupé de moi et ma sœur (qui elle a continue le travail d'aventurière) a dû surement en toucher deux mots aux têtes décisionnaires qui me proposèrent ce poste (Bien qu'étant Lieutenant, il était quasiment sûr qu'il me le proposerait). Cela ne me pris que peu de temps avant d'accepter ce poste, et j'avais bien l'intention de l'honorer du mieux que je pourrais.

Le reste de mon histoire et bien... Hé oh ! Je suis arrivé au bout là, c'est maintenant que je dois rp pour le vous raconter un peu mieux. Ceux qui veulent savoir la fin de mon histoire devront attendre un peu.