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Kwanita
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Date d'inscription : 23/11/2014
Localisation : France.
Humeur : A faire péter une banque avec une orange.
Leon Ascenthia
Leon Ascenthia
Kwanita
MessageSujet: ♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr.   ♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr. Icon_minitimeDim 23 Nov - 18:54


Ascenthia
   Leon

   
Soyons honnêtes entre nous, Invité. Quoi que tu fasses, c'est moi qui ai les cartes en main.


   
♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr. Y3r9
   
Feat: Arno Victor Dorian | Assassin's Creed Unity.

   Fiche d’identité

   Nom : Ascenthia.
   Prénom : Leon.
   Age : 25 ans.
   Lieu de naissance Carda.
   Groupe : Kwanita.
   Orientation : Hétérosexuelle.
   Totem : La dague. | 20 ans.
   Pouvoir lié au totem : Leon peut entièrement agir sur le métal. Il peut ainsi faire fondre un quelconque objet en métal (pour l'instant, uniquement s'il est entièrement composé de métal) pour le remodeler en un nouvel objet en métal. En contre partie, la température de Leon augmentera elle aussi, pour lui provoquer des maux de têtes, évanouissements voir comas artificiels.
   

   

   
Psychologie

   



   


Leon s'était toujours débrouillé pour être un homme droit et honnête, suivant aveuglément les ordres et les lois de son peuple sans vergogne, jour et nuit. Des lois qui le poignardaient, sans même qu'il ne  s'en rendre compte. En fin de compte, il s'est toujours opposé aux idéaux des dirigeants du royaume. Il reconnaît parfaitement les efforts de Lohendra en plaçant quatre conseillers au gouvernement, mais pour lui, ce n'est pas assez. Lui, il veut du règne à l'état pur, non pas une quelconque monarchie, mais un pays libre ou la seule justice serait celle du peuple. Des habitants soudés entre eux, tout en restant maître absolues de leur vie. Un révolutionnaire, tout simplement. N'importe qui s'opposera à ses idéaux, de manière conséquente bien sûr, se fera un ennemi mortel. Ses seuls préceptes sont ceux qu'il s'impose et nul autre.

Malgré ce que beaucoup enseignent à leurs descendants, Leon ne s'est jamais vu pourvoir un quelconque flambeau de la part de ses parents. L'écart implacable entre ses parents en est peut-être la cause, toujours est-il qu'il s'est toujours fait oublié voir rejeté par ses pères. La plupart n'approuvant pas l'union prématurée des deux parents, il en était pareil pour leur "maudit" fils. Il faut dire, d'un côté, qu'il n'a jamais vraiment rejeté cette idée. La seule chose que lui avaient vraiment enseignée ses parents, ce fut que l'amour est interdit. Que la compassion n'est qu'éphémère. Que peu importe tes efforts, jamais ils ne seront approuvés de tous. C'est de là que lui vient cette idéologie interdite ; rassemblée Dena et Heka, en faisant ainsi tomber les gouvernements, et imposer un seul et même codex régit par les besoins des citoyens. Certains ne se privent pas pour le lui rappeler, et malgré tout, c'est entièrement vrai. Il n'aurait jamais pensé pouvoir réussir cet objectif s'il n'était pas lui-même éprit de folie. Après tout, seuls les fous peuvent changer le monde. (#lacitationtrèsdiscrète)

Les parleurs diront sûrement de lui que ce n'est qu'un homme naïf, froid et dont la seule amie n'est d'autre que l'hérésie et la folie pure. Cette rumeur ne serait pas actuellement entre les murs de Carda -on ne peut pas dire qu'il soit doué pour sa discretion- si, effectivement, comme il est dit, personne n'aurait put l'approcher de près. Il lui arrive, parfois, de donner sa sympathie et sa confiance à quelques élus choisie à la plume. Leon reste un humain, capable d'avoir des relations, bien qu'il évite malgré tout.

Ces goûts sont minces, mais bel et bien présents. Il possède une passion aussi particulière qu'originale pour les fruits. Leur goût, leur odeur, leur texture... Tout lui plaît, en réalité. Il n'en raffole pas pour autant, mais préfère largement ça que son plus grand ennemie ; la monarchie.

   



   
Physionomie

   


   
Dans la foule, Leon est l'un des premiers à se démarquer des autres. Le problème n'est pas dans son visage, généralement apprécié, bien au contraire. Ce n'est, malheureusement, pas le cas. L'intégralité de son corps n'est qu'un piège voué à vous piéger, tant par son originalité que par sa prestance. Le problème n'est pas dans son visage, généralement apprécié, bien au contraire. Qui pourrait porter attention à cette épaisse touffe brune aux quelques reflets anormaux, coiffée par une mince queue de cheval quasiment invisible au premier regard. Ou encore à ses deux pupilles brunes, ne portant généralement que peu d'intérêt aux autres, derrière ce regard dédaignant accentué par cette paire de sourcils fins, ou encore par cette bouche généralement fermée cachant une dentition quasiment parfaite, bien qu'aux quelques traces de jaunissements. Encore serait-ce ce teint hâlé qui lui fait défaut, mais il n'en est rien. Tout réside dans sa piètre tenue.


Une tenue qui, malheureusement, cache l'intégralité du corps du jeune homme. Alors que certains passent leur temps à mettre en valeur les quelques muscles qu'ils possèdent, c'est bien le contraire pour Leon, qui se démarque en essayant du mieux qu'il peut de se cacher. C'est un choix volontaire que de se camoufler, étant donné qu'il préfère agir dans la discrétion, simplement pour pouvoir vivre tant son identité de révolutionnaire fougueux que celle de Leon Ascenthia, un simple citoyen fidèle. Le moins qu'on puis ce dire, c'est qu'il s'en donne les moyens. Son épaisse veste bleu marine, rarement rattachée, qui lui descend jusqu'aux genoux, mais qui est également munie d'une capuche courte en est pour beaucoup. Bien sûr, ce n'est pas là son unique effet. Une simple redingote, mise misérablement en valeur par un foulard pourpre autour de son cou, lui sert également pour les occasions plus "officielles", bien qu'il la porte en permanence. Ce n'est pas tellement la peur d'être reconnu, bien au contraire, mais plus la peur d'être pourchassé. Pour aller jusqu'au bout de ses idées farfelues, Leon porte également une paire de gants de cuir, de manière à ne pas laissé d'empreinte. Il faut le dire, il reste extrêmement prudent.



   


   
My story is your history.

   


   
Mon histoire n'a jamais été banale, et ne le sera sans doute jamais. Je ne suis pas ce genre d'homme à se reposer sur autrui, bien au contraire. À mes yeux, c'est ce qu'on impose nous même qui doit valoriser une patrie et dicter nos conduites, pas des décisions prématurés dont les seules arbitres sont une poignée d'hommes et de femmes inconnues au peuple. Le peuple. Ce peuple, fut un temps uni, qui habite depuis toujours l'île de Dena. Nous étions là avant même la naissance des dignitaires du royaume. Il n'y a qu'une seule voie qui nous cédera notre destinée tant espérée ; la voie de la vengeance. Nous devons nous révolter, reprendre ce qui fut notre, ne plus nous faire dicter par Lohendra, et même mieux, dicter nous-même Lohendra. Malheureusement, à l'époque, j'étais comme tout le monde ; berné par les idéaux factices que nous transmettaient les régents. Ils nous aveuglaient impunément, et les quelques fidèles qui tentaient, vainement, de se révolter ne faisaient pas long feu. Moi, j'étais banal. Je suivais les règles, sans me poser de question, suivant mes pères sans prendre le cran de m'imposer. Néanmoins, derrière tous ses mensonges, derrière moi-même à vrai dire, j'avais toujours su une chose ; il nous fallait quelque chose de fort. Quelque chose de dure. Il nous fallait une Révolution. Mon nom est Leon Ascenthia, et ceci est mon histoire.

Ma naissance, tout comme l'amour de mes parents, avaient étés proscrits de beaucoup, m'assurant ainsi un avenir dure. Ah, j'aurais tellement aimé pouvoir changer le cours du passé. Mais c'est quelque chose d'impossible, on ne peut que changer le futur ; c'est ce que je m'efforce de faire chaque jour, au dépend de nombreuses vies. Les sacrifices, à mes yeux, ne sont que des chimères, servantes muettes de ma patrie, de mon partie. Pourtant, bien que je sois l'un des seuls patriotes à cette révolution, je reste moi-même un enfant du peuple, tout particulièrement à cette époque maudite que fut mon enfance. Je ne me plains pas particulièrement en ce jour ; j'ai beau être une déchéance, je suis fier d'être ce que je suis, et je le resterais jusqu'à la mort. Si vint le jour où je trahirais mes préceptes, que je sois foudroyé sur place, que dieu m'emporte. Un dieu lui aussi factice. Aurait il put préserver ma mère de porter ce fruit mortel que je suis aujourd'hui ? Il n'a jamais rien fait pour nous. C'est vérifié ; personne ne m'a jamais apprécié, si on devait me choisir une religion, elle n'en serait que plus morbide. J'ai peur d'en avoir honte, mais ma mère fut bien ce qu'elle n'oserait jamais admettre ; une prostituée.

Une prostituée qui parcourait les ruelles de Carda, offrant son corps à la première personne venue, tout ça dans l'espoir de se fournir une pitance quelconque. La prostitution, pour l'époque, à vrai dire, je ne sais rien des politiques de cette ville désormais, n'était pas légale. Une énormité de gardes se tentait à l'arrêter, bien qu'aucun ne fût jamais en mesure de l'arrêter dans sa folie. Pour cette femme forte, les jours étaient des mois. Chaque heure était un enfer, tenue d'une main sourde par le diable lui-même qui attendait patiemment sa mort. Famine, froideur, solitude, ou, comme par une erreur du destin, la vieillesse. Peu importe la manière, elle n'était jamais sûre du lendemain, se forçant à vivre chaque minute comme la dernière. Elle n'avait rien à perdre, rien, sauf ce jour. Un jour que je pense qu'elle n'oubliera jamais. De ce qu'il m'avait dit, c'était un jour de tempête. Qui est-il ? C'est une question que je ne saurais pas vraiment répondre. Il est simplement mon géniteur, paraît-il. Du moins, c'est lui qui avait mis ma mère enceinte. À mes yeux, ce n'est rien d'autre qu'un inconnu, voir même un ami dans le plus minime des sens. Comment considérer comme un véritable père quelqu'un qui vous abandonne dès la naissance, pour repartir dans ses contrées éloignées ? Je ne saurais même pas dire s'il eut vent de ma naissance avant qu'il ne me récupère au chevet de ma mère.

Contrairement à ce que vous pourriez penser en lisant ses lignes, et ce qu'espéraient sûrement les ennemis à la survie de ma mère., ma génitrice n'était pas morte cette nuit-là. C'était bien un coup fatal qu'ont lui assenât lâchement, un coup qui répondait au nom de "prison". Pour ces nombreuses révoltes contre les quelques gardes qui tentaient de l'arrêter. Bien que le gouvernement prît son temps pour le verdict finale, elle fut bel et bien capturer et emmené de force dans les prisons de Dena. Peut-être mon périple à t'il commencer suite à cette mésaventure, lorsque je commençais tout juste à haïr ceux qui m'avaient enlevé ma génitrice. Qu'elle âge pouvais-je avoir ? Six ans à tout casser. Pour l'époque, ce ne fut que des idées saugrenues, je le reconnais. J'étais bien loin de la réalité et du fond de cette histoire, par ce que, sachez une chose ; ma vie est une mascarade. Un calvaire sans fin, dont les seuls bourreaux seront ceux des limites de ma liberté, de la liberté du peuple.

Comble de l'enfer, ma charge n'était pas revenue à un orphelinat, mais à mon père qui était, tragiquement réapparu, sans même faire part de son retour en ville. Du moins, il n'en avait pas vraiment eu le choix ; le gouvernement s'était efforcé de venir prendre ma charge. Il m'avait dit que Lohendra avait oser interroger ma génitrice sur ma parenté -il faut dire que je ressemble atrocement à mon père-. La nouvelle s'était rapidement répandue, bien que l'arrivée rapide dont l'égale n'était que sa nuisibilité à mon état mental retarda la nouvelle, qui dut bien s'arrêter au bout de quelques jours, pas moins d'une poignée, je pense. En fait, je ne sais pas vraiment, contrairement aux agents de mon géniteur, je ne vivais plus à Carda, ma ville natale, et ils s'étaient arrangés pour que je l'oublie bien rapidement. Mon père et ses employés de malheur, je ne les appréciais guère ; leur principale coutume était de se taire en permanence, laissant ainsi notre nouvelle résidence, bien que les bruits d'agitation du voisinage, quasiment vide et silencieuse, d'un ennui mortel. J'avais pour peine d'écouter les autres enfants s'amuser, je m'en souviens très bien, les vitres épaisses de notre demeure m'affichaient généralement des parties de jeux à balles, dont je rêvais être joueur. Comment retenir un enfant qui n'avait même pas atteint la dizaine ?  C'était l'ironie du sort. J'avais accepté de suivre cet homme, sans doute un directeur d'entreprise, et cette richesse soudaine ne m'en avait qu'appauvris. Mon accès à cette vie de luxe, à ce manoir que je ne pourrais même pas qualifier de familial sans remords, tout ça m'avait isolé des plaisirs de la vie courante. Je m'étais endurci.

Alors vint mes dix ans. C'était un temps de doute, de questions dont les réponses étaient tellement incertaines que l'enfant que j'étais n'osait nullement les poser à qui que ce soit. Généralement, le peu de regards que m'apportait ma présumé "famille" n'était qu'un rejet de dégout. Certains disaient que je n'aurais pas dû naître. Peut-être avaient-ils raisons, que leurs dictons et sermons étaient véridiques. Étrangement, je ne leur en voulais pas plus que ça. À mes yeux, ce n'était qu'un amas d'étrangers voir d'abrutis confirmés. La famille Ascenthia suivait une idéologie de droiture ; aucun écart des lois de Dena, aussi maigres soient-elles, n'étaient toléré parmi leurs rangs. Ainsi, ils refusaient strictement d'avoir un quelconque lien avec une repentie, ma mère, et c'était de même pour moi. Tout juste s'occupaient-ils de ma personne, me conférant quelques draps pour dormir et de la nourriture, généralement durant des repas qui restaient silencieux sur ma personne. Ils n'étaient pas cruels au point de me laisser périr sous la famine de l'hiver, mais ils l'étaient assez pour me considérer simplement comme un collaborateur de la famille, et encore, c'était déjà beaucoup pour l'époque. Séquestré, mais vivant, ma vie me paraissait être un enfer malgré le confort qu'elle m'offrait désormais. Ma séparation si soudaine avec ma mère, et le retour de ce père qui nous avait abandonnés, ces quelques évènements m'avaient simplement apprit le dégout pour la société. À cause de qui ma mère était pauvre et avec donc été contrainte d'exercé ce métier interdit ? À cause de qui je n'étais pas accepté comme un membre de la famille ? À cause de qui l'union de mes parents était proscrite ? Ce ne fut que là le choix de ma famille, mais qui, sans aucun doute peureuse, rejetait en permanence la faute sur l'état. J'y avais cru, j'avais commencé à détester Lohendra. C'était le début de tout, le commencement de mon épopée ; un nuage de mensonges qui traçait mon destin.

L'hiver était passé, laissant ainsi la faune reprendre la vie palpitante qui me faisait défaut. Un beau matin, la providence m'avait envoyé un cadeau qui me paraissait être l'apogée de tous mes efforts, une récompense qui aurait très bien pu me faire pleurer de bonheur. Durant l'intégralité de cette journée, ils s'étaient efforcés à me considérer comme un fils, simplement un membre de la famille comme les autres, sans prendre en considération le métier de ma mère. Je m'en souviens très bien, les murs de la battisse me paraissaient beaucoup plus clairs et plus pures. J'avais adoré entendre les salutations des quelques habitants, ou bien pouvoir sentir le vent frais s'engouffrer dans mon corps, là où je n'avais eu toute ma vie que de la colère envers mes pères ; c'était un renouveau important pour moi. Secrètement, j'entretenais l'espoir de passer ma vie entière comme ça, me réveiller chaque jour avec un sentiment de bonheur constant. J'appris plus tard que toute cette générosité à portée de main n'était symbolisée que par mon anniversaire, ma petite douzaine, mais ça m'avait énormément rapproché de la famille, leur ouvrant sans doute les yeux sûr mes origines. Mon père m'avait confirmé essayé d'arranger nos problèmes d'ententes, sous prétexte que les anciens de la famille, les plus respectés, étaient trop bornés et vieux jeu pour accepter une liaison avec une prostitué, dédaignant une nouvelle fois porter la faute de mon rejet. J'avais passé l'intégralité de la journée, bercé par un sourire omniprésent sur mes lèvres, attendant ainsi le crépuscule pour poser une question si précieuse à mon géniteur. Je ne sais plus exactement quelle était cette question, mais la réponse m'avait choqué. C'est ce soir-là que j'ai vraiment commencé à entamer cette révolution.

J'avais fini par me lier d'amitié avec quelques gens du voisinage, mais tout particulièrement avec un dénommé Arno. Il représentait bien plus qu'un simple ami à mes yeux, c'était également un cousin et un confident. Au bout d'une quinzaine d'années vécues seules, la présence chaleureuse de ce jeune homme n'en était que plus revigorante. Je passais des journées entières chez son père, bien que mon père ne trouvât pas l'idée plaisante, à apprendre l'escrime à ses côtés. C'était un ancien chevalier, qui éprit d'une femme, avait tardivement quitté l'ordre pour se pencher plus profondément dans son amour, l'amour duquel était naquit Arno. Ainsi, il occupait ses après-midi vierges pour nous apprendre les bases de son art. Je dois bien avoué avoir apprécié ses cours, bien que je ne fus pas très doué les premiers mois. C'était généralement mon cousin qui me battait, j'avais fini par connaître le goût de la terre qui encadrait nos demeures, à charge de revanche. En soit, mes journées étaient bien meilleures. On me disait que mon isolement passé n'était dû qu'a mon pessimiste, ce qui n'était pas totalement faux. Chaque jour, je rêvais du lendemain, sans prendre en compte le mal qui me rongeait. Car bien que je fus quelques années heureux, ma colère contre le gouvernement n'était pas dissipée, simplement enfouie au plus profond de mon âme. J'aurais pu passer toute ma jeunesse, mon innocence, à tenter de la consommer et la faire disparaître, mais je ne le fîs pas, trop occupé par d'autres faits marquants. D'autres faits qui l'alimentait, bien que lentement. On m'avait apporté l'éducation qui était censée faire de moi l'héritier spirituel de l'entreprise familiale, dont j'avais appris être une forge relativement connue. J'avais ainsi l'hypothèse que la liaison entre le père d'Arno et ma famille n'était d'autre que la même entre les chevaliers et la forge ; le métal. Comme quoi, mon cerveau commençait à raisonner juste. Je ne savais pas tout, mais assez pour me dire que le gouvernement n'était pas équitable. Que si le peuple décidait de ses actions, que tout le monde avait le même niveau dans la hiérarchie, ma mère aurait put être épargné au même titre que mon enfance. C'était une idée assez arrogante, mais il était sans doute de même pour le reste de la population. D'autres faits qui l'alimentaient, bien que lentement. Quatre individus ne peuvent avoir un avis juste et égal, contrairement à l'intégralité d'un peuple qui rassemblerait la majeure partie des avis.

“ La vie et la mort sont un cycle éternel, dont la fin sera également le glas de l'humanité. La mort n'est pas une chose riante, mais quelque chose de triste. Ne pleurez pas pour autant, car c'est là un signe de faiblesse qui signera votre propre fin ; il ne faut pas jouer avec, car c'est un ennemi mortel. D'étranges paroles qui m'avaient étés transmises par mon oncle, quelques jours avant qu'il ne disparaisse, comme emporté par le temps ou par un malheur sans nul égal. C'était si soudain, et en même temps si prévisible, je ne savais qu'en penser. Comme il nous l'avait dit et demandé maintes fois, je ne pleurais pas, je restais fort. Je respectais sa vie, son cycle comme il le disait si bien, mais en même temps, j'étais enduit de rage, je plongeais indéniablement dans une colère sans fin dont la seule issue serait la vengeance. Une vengeance éphémère, ce que je compris par la suite. Contre qui pourrais-je me venger, si ce n'est qu'une ombre que je pouvais encore voir, dans mon esprit contaminé, assise sur le fauteuil si particulier où siégeait couramment le père d'Arno. C'était le cas, à mon grand regret ; son corps, son âme, son essence vitale, ils étaient tous parties sans laisser de traces, mais pour nous, tout comme cette ombre, il n'était pas partie. On se répétait sans cesse qu'il reviendrait, que ce n'était qu'une question de temps. Mais ce ne fut pas le cas. La raison de son départ, apparemment non voulue, me fit rapidement confier par mon cousin, bien qu'elle ne sonna pas claire en vue de ses sanglots ; Lohendra m'avait arraché mon oncle, un révolutionnaire résistant au gouvernement depuis déjà des années. Tout s'écroulait autour de moi. Le gouvernement m'avait enlevé une nouvelle fois un être chère. C'était ainsi, la famille Ascenthia est une famille à risque. Une seule idée me rongeait ; celle de renverser, à mon tour, le gouvernement. Cet amas d'imbéciles qui tentait de se protéger, s'assurant de supprimer leurs ennemis. Des ennemis peu nombreux ; ils s'étaient assurés de paraître comme des piliers pour le peuple, qui s'était laissé berné. Moi, je ne ferais pas la même erreur. Je rendrais Dena à son peuple, peu importe ce qu'il m'en coûte.

Les évènements qui suivirent ce moment tragique de mon histoire me semblèrent devenir une éternité, ce qui fut bien le cas. Sans doute 5 ans, tout au plus. J'avais orchestré entièrement des projets aussi futiles qu'irréalisables, tout ça pour nourrir un ego incommensurable, un besoin de vengeance et de renouveau pour Dena. À vrai dire, je n'étais pas moi-même être sûr d'agir pour la liberté, pour mes préceptes. Il faut dire que j'avais bien des problèmes vis-à-vis d'une autre personne. Je savais globalement son identité, tout du moins le nom qu'elle utilisait dont je n'avais pas les moyens de discerner le vrai du faux. Elle se faisait appeler, derrière de nombreux articles publiés dans les plus beaux quartiers de Blaoria, Madame Nayen. Ses articles ? Un amas de bêtises saugrenues ; tout du long, elle soutenait Lohendra, à la limite même de les vénérer. Elle n'hésitait pas une seule seconde à clamer les bienfaits -inexistants- de ces derniers, voir même à dénoncer ouvertement les quelques patriotes de ma révolution. C'était une tache d'encre dans un engrenage qui la dépassait largement, une tache d'encre qu'on devait se dépêcher d'effacer à jamais.

J'avais commandité mon cousin, lui demandant ainsi de retrouver cette journaliste. Il y avait bien une chose que je savais plus que tout autre ; ce que je voulais faire d'elle était néfaste pour tous, mais c'était bien plus fort que moi. Chaque nuit, je ne pensais qu'à elle. Non pas que je lui vouais un quelconque intérêt, mais j'avais simplement envie de l'éradiquer. De pouvoir répandre ses boyaux devant tous, en signe d'avertissement, de déclencher le premier rouage du temps vers la révolution, de retourner définitivement ma veste vers la voie que j'ai choisie. C'était un coup dangereux que j'allais porter, mais pourtant décisif. Un coup de maître en soit, bien que je ne fusse pas prêt mentalement à ça. Mon oncle, avant d'être lui-même porté disparu, nous l'avait dit. Bien que déserteur, le credo des Chevaliers lui était resté, ce qu'il s'était ensuite empressé de nous transmettre, nous demandant ainsi de ne jamais tuer quelqu'un. Nous avions par la suite fait le serment de respecter sa parole, et, en ce jour, je m'apprêtais à briser ce dernier. Aujourd'hui, je n'hésiterais plus, mais bien que déterminé, j'avais passé de nombreuses nuits blanches dans l'optique de méditer sur le sujet. S'en était ressorti la décision suivante, la même que ce que j'ai toujours fait ; faire ce qui doit être fait.

Dieu sait à quel point Arno est un homme rapide, empli de bonnes volontés à mon égard et de fidélité envers la famille. Quelques mois et nous savions déjà ce qu'il nous fallait sur notre future victime. Elle avait eu la maladresse, voir même la stupidité, d'inscrire dans un de ses journaux, à la fin d'une annonce quelconque, ses coordonnées. Apparemment, la dénommé Nayen vivait au détour d'une petite ruelle à Blaoria, se protégeant dans une maison qui laissait paraître sa richesse et sa célébrité dut à ses articles. Pour moi, ce n'était là que l'œuvre du peuple qui, comme à son habitude, soutenait aveuglément la majorité des partisans à Lohendra, nos ennemis. On m'avait aussi rapporté qu'elle était couramment entourée de nombreuses personnes. C'était une bonne chose, même si je n'en tirai point le profit que je voulais, encore trop inexpérimenté à l'époque. Je savais la discrétion un allié de mise, et j'aurais rapidement pu m'enfuir dans une foule. Malheureusement, j'avais choisi la difficulté, me lançant dès lors dans une élaboration de plan sans queue ni tête.

Durant une année je m'étais  préparé à cette rencontre, qui n'était plaisante à personne, croyez-moi. Arno m'avait donné sa confiance, me confiant non seulement la vengeance de son père mais aussi l'arme qu'il avait lui-même utilisé maintes fois ; une dague en métal. Je me souviens, elle m'avait fait forte impression. On pouvait encore voir, malgré ce maudit temps qui les emportais, quelques traces rougeoyantes laissant présumées l'histoire de l'arme. C'est vrai, mon oncle était un homme propre. Le fer de l'arme ne laissait paraître aucune trace de rouille, ce qui m'avait mis en confiance quant à la réussite de ma mission. Je l'avais ainsi prise, sans même savoir l'ampleur du pouvoir de ce poignard. Au contact de ma main, l'arme s'était mise à fondre, brûlant sévèrement la main d'Arno pour ensuite se transformer en une sorte de lingot. Nous avions eu une telle peur que j'avais directement lâchée le semblant d'arme au sol pour m'occuper de la santé d'Arno. Un accident qui coupa nos liens, alors qu'il fut contraint de s'amputer la main par ma faute. J'avais ainsi gagné mon totem, mais perdu mon cousin ; ce fut un grand choc, durant plusieurs années d'affilées. J'avais eu un sermon inoubliable de sa part, sermon qui me façonna. “ Leon, si tu veux faire ta révolution, fait là. Mais sache une chose ; Je soutiendrais toujours l'état. Toi, tu es un fléau...tu me voles ma main, tu me voles ma vengeance, tu n'es rien d'autre qu'un voleur, que l'assassin qui a foutu ma vie en l'air ! ”

Ces mots avaient été de trop. J'aurais voulu pouvoir lui sauter au cou, lui intimidant l'ordre de se taire à jamais, mais il n'en fut rien. Il m'aurait suffi d'être moins sentimental à ce moment même, et sans doute aurais-je pu relier avec lui. J'avais été trop lâche, partant immédiatement sous l'effet semblable à celui d'un coup de couteau que me donnait ses mots. J'avais réalisé une chose ; la vie est une chose horriblement dure. Mon confident venait de me trahir à son tour, se retournant pour rejoindre le camp qui m'avait fait tant de mal autrefois. Ils m'avaient tout pris, et ça ne leur suffisait pas. Sans doute ne s'arrêteront-ils jamais, c'est pour ça que je dois moi-même les arrêtés. Cette nuit là, j'avais juré sur la tombe, bien qu'elle n'eût même pas l'honneur de porter son corps, j'avais juré sur la tombe de mon oncle de ne jamais mettre fin à ma révolution, que je n'aurais pas le droit à un quelconque répit tant que l'on entendra ne serait-ce que le seul nom de Lohendra. Ainsi, je m'étais lancé dans mon odyssée, celle vers la liberté, abandonnant toute ma vie derrière moi. Parti à jamais de sa demeure, avec pour seul équipement quelques vivres, ma dague et un vieux manteau usé, sans doute vestige d'un passé oublié de tous. Leon Ascenthia était mort ce soir, laissant place à un nouvel homme, fils du peuple et révolutionnaire chevronné en route vers la victoire.

Je m'étais rendu dans les plus brefs délais  à Blaoria, me présentant directement à la rue mère de mon adversaire du jour, la famille Nayen. En réalité, je m'étais contenté de cavaler durant la descente de la colline où nous habitions, ce qui m'avait directement mené à la capitale sans trop d'effort physique, si ce n'est les quelques heures de marche dont je ressortais. J'avais une envie terrible de me reposer, mais je n'avais pas le temps, les cris de joie dont témoignaient les murs du bâtiment m'avaient laissé croire à une fête, sans doute un anniversaire ou d'autres choses. En temps normal, j'aurais sans doute fait demi-tour, sachant à quel point un anniversaire peut être bouleversant. Néanmoins, j'avais préféré faire un tout autre cadeau à la bien-aimée, un prestige et honneur sans égal ; son anniversaire serait celui du début de la liberté. En réalité, je m'en fichais bien de son avis, le choix ne lui revenait pas. Ainsi, je m'infiltrais sans vraiment de mal, me présentant simplement comme un ami convié à la fête. L'absence totale de garde m'avait chamboulé, mais je n'en était pas pour autant déstabilisé. Encore moins lorsque j'usai de mon pouvoir pour faire fondre une des chaises, trouvée sur place, pour la transformer en une sorte de dague à chaîne qui ne prit que quelques secondes pour transpercer ma cible, isolé de tous, alors qu'elle s'affalait sur une autre chaise, s'écroulant sous le poids de la mort. Je m'éloignais, sans prendre le temps d'exécuter un quelconque rituel des morts. Le temps n'était plus aux pleurs ou à la pitié, mais à la guerre, à la rébellion. J'avais déjà vint-deux ans, après tout. Ainsi, j'étais reparti de cette maison émoustillé, surpris que ma simple capuche avait réussi à tous les bernés sur mon identité.

Les trois années qui suivirent ne furent pas vraiment intéressantes. Elles se vécurent simplement, sans encombre, alors que je m’efforçais de mener une double vie. Ce fut certes dur au début, mais ça ne me dérangeait point ; Car ce qui compte aujourd'hui, ce n'est pas qui je suis, mais ce que je ferais.
   


   
Faites entré l'accusé !


   
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Ville/Pays : France.
Présence : 7/7.
Comment avez vous connu le forum ? ...euuuuuh...
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On vous offre un truc à boire ? Un jus de pomme.
Un petit mot pour la fin ? :3 THE END.



   


Dernière édition par Leon Ascenthia le Mer 31 Déc - 12:54, édité 32 fois
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MessageSujet: Re: ♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr.   ♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr. Icon_minitimeDim 23 Nov - 19:01

Re-bienvenue !
Bon courage pour ta fiche et ta validation, j'espère que tu t'amuseras bien avec ce personnage :3
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Kwanita
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MessageSujet: Re: ♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr.   ♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr. Icon_minitimeDim 23 Nov - 19:03

Mershii ! Vile sataniste qui m'offre pas mon jus de pomme :°

Je m'amuse toujours Sysy, sache que je suis capable de foutre la merde avec n'importe quel personnage elle est géniale je risque pas de m'ennuyer *tousse*
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MessageSujet: Re: ♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr.   ♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr. Icon_minitimeDim 23 Nov - 20:47

GLEN !!! Tu m'offres mon cadeau de Noël en avance là !! Oh punaise ça gere ! J'espère que tu t'amuseras bien avec ce nouveau personnage <3 et j'espère aussi que tu le fera vivre comme il se doit car pour l'instant je suis un peu déçu de ce qu'il c'est passé avec les autres Summer... Bref je t'offre du jus de pomme comme tu l'aimes <3
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Kwanita
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MessageSujet: Re: ♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr.   ♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr. Icon_minitimeDim 23 Nov - 20:50

Oh merci, enfin du jus de pomme ♥
T'inquiêtes, ça va gérer è_é
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MessageSujet: Re: ♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr.   ♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr. Icon_minitimeDim 23 Nov - 20:50

Rebienvenue x) Fais pas n'importe quoi avec elle, et fait attention, elle porte malheur à tous les rpgistes alors disparaît pas au détour d'une ruelle.
bon courage pour la fiche x) *offre le jus de pomme*

EDIT=Je me suis faite doublement devancée. La honte.
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Kwanita
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MessageSujet: Re: ♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr.   ♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr. Icon_minitimeDim 23 Nov - 20:52

Double ration *w*, merci.
Baaaah, je porte plus malheur qu'elle alors on s'entendra bien o/
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MessageSujet: Re: ♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr.   ♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr. Icon_minitimeJeu 27 Nov - 18:18

GLENNYYYYYYYYYYYYYYYY ♥. Voilà maintenant je suis officiellement au courant de ton DC. AMOUR SUR TOI. Bon courage pour ta fiche :)
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MessageSujet: Re: ♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr.   ♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr. Icon_minitimeDim 30 Nov - 13:07

Bon bah j'ai fini ma présentation, j'espère que ça vous ira. La fin est un peu bâclé certes, mais comprenez moi, ça devient vite lassant d'écrire une présentation :/.

Merci Andyve ♥


( Au passage, un bug forumactif fait que certains ont des mots repétés ou manquants, mais pas tous... xD )
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MessageSujet: Re: ♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr.   ♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr. Icon_minitimeMar 30 Déc - 23:55

Olalalalalalalalala...ok j'ai un peu de retard mon petit Leon je suis vraiment désolé ! Donc, le caractère et le physique me plaisent mais tu me reliras ça parce qu'il y a encore ce problème de duplication de phrase. Maintenant l'histoire où je vais un peu plus t'embêter:

-Alors premièrement pour la mère j'étais un peu septique qu'on la sépare de son enfants mais bon au final ça me semble normal parce que je vois pas comment une femme qui s'abaisse à vendre son corps pourrait s'occuper d'un enfant: donc le coup de la prison pour la mère ça me va, par contre je ne vois pas comment ton père est a courant pour ta naissance. ( en gros explique moi l'arrivé du daron)

-Deuxièmement ton oncle, il y a un énorme bug de phrase au moment de sa disparition alors je n'ai rien compris de ce qu'il lui arrivait, il faudra demander à prince Ali mais je pense que les chevaliers peuvent démissionner, je ne vois pas pourquoi on mettrait ton oncle en prison parce qu'il a voulu vivre avec la femme qu'il aime xD je sais que Lohendra a beaucoup de pouvoir mais on aime quand même le peuple ( enfin James aime l'argent du peuple et les femmes).

-Troisièmement j'aimerais que tu rajoutes l'âge de ton personnage à chaque "moment" de l'histoire pour qu'on puisse bien le cerner parce que par moment je dois t'avouer que je me relisais plusieurs fois.

-Et enfin le meurtre de la fin m'a un peu déçu xD Tu ne nous dis pas comment tu t'introduis chez elle ou bien comment tu fais pour ne pas te faire arrêter parce que s'il y a des invités je doute qu'il te tire leurs chapeau pour avoir tuer leur hôtesse ^^'

Autrement ton pouvoir a ses limites donc je n'ai rien contre de plus ton personnage me plait beaucoup parce que c'est vraiment l'opposé de James alors j'ai hâte de le rencontrer lors d'un RP même si je ne suis pas très actif en ce moment je dois l'avouer...

Voilà voilà MP moi quand tu auras modifier comme ça je penserais à venir rapidement revoir tout ça avec toi <3
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MessageSujet: Re: ♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr.   ♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr. Icon_minitimeMer 31 Déc - 8:30

Ok bah vu que je te mpoterais, je me permets de répondre ici à quelques questions. Pour les duplications j'y peux pas grand chose, comme je te l'ai dis, beaucoup de phrase que t'as en duplicé moi je l'ai en normal, mais si j'en trouve, j'arrangerais ça ! o/

Donc apparemment, pour l'oncle ça a disparu aussi et pour le meurtre également, je te refais ça dans la journée o/

Et ouais, je vais rajouuuuter l'âââge
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MessageSujet: Re: ♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr.   ♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr. Icon_minitimeMer 31 Déc - 11:16

Me revoilà et cette fois-ci je ne suis pas en retard muhahaha, alors merci d'avoir apporté les modifications demandé maintenant je comprend pourquoi ton oncle a été arrêté. Bon maintenant pour toi et ton père ça me dérange toujours ( le modo trop chiant ) parce que ta mère étant une péripatéticienne je doute que ton père soit son seul et unique client, comment peut-on savoir que tu es son fils ?

Pour le meurtre de la fin rajoute juste que tu arrives à t'enfuir sans difficulté et que ton visage est camouflé afin que tu ne sois pas activement recherché par le gouvernement. ( même avec l'absence de garde tu peux toujours te faire identifier par les différents convives )

Ajoute juste ces quelques dernières petites modifications et tu seras validé dans la journée <3
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MessageSujet: Re: ♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr.   ♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr. Icon_minitimeMer 31 Déc - 12:55

J'ai modifier tout ça, et vu que je sais que tu vas me dire " Ouais, mais comment elle a pu retenir le visage d'un gars parmi tant d'autres ? " bah par ce comme je l'ai dis, les deux étaient amoureux, VOILA tu n'as plus d'excuse ee.
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Bah voilà c'est parfait tout ça =D Je te valide donc mon petit ! Je te rabâche maintenant le train train habituel:

-tu peux aller recenser ton totem, ton pouvoir et ton vava , puis ouvrir une fiche de relation et, si le coeur t'en dit, faire une demande de rp et/ou répondre à l'une de celles ouvertes par d'autres membres

-Je verrouille ta fiche et la déplace de ce pas tout en t'ajoutant ton rang etc.

Bon rp avec ce petit <3
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MessageSujet: Re: ♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr.   ♠ L e o n A s c e n t h i a ♠ S'unir, ou périr. Icon_minitime

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