Invité Invité | Sujet: Just call his name || Izaya Sabaku. Ven 26 Avr - 19:09 | |
| Sabaku Izaya. Tout oiseau aime à s’entendre chanter. Feat: Shizuo Heiwajima| Durarara | Fiche d'identité Nom : Sabaku. Prénom : Izaya. Age : 35 ans. Lieu de naissance [Que ce soit une des ville ou ailleurs] : Carda. Groupe : Capitaine de Carda. Orientation : Bisexuelle. Totem [S'il n'y en a pas, supprimez la ligne]: Le fennec ; ouïe très développée | 17 ans.
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L’arrogance froissée est tout de suite colère. Du haut des vingt-quatre années, Izaya a quasiment le même caractère que plus petit. Il faut croire que les quelques épreuves qu’il a dû affronter jusque là ne l’ont pas beaucoup changé. Et c’est tant mieux, car le changement, il n’aimait pas trop ça. Arrogant. Effectivement, il l’était. Et pas qu’un peu. Il n’avait pas froid aux yeux, ne mâchait pas non plus ses mots, était franc et direct et ne lésinait pas sur les moyens à utiliser pour parvenir à ses fins. Il était toujours prêt à tenir tête aux gens, qu’ils lui soient supérieurs hiérarchiquement ou inférieur, qu’ils soient plus ou moins âgés que lui. Il n’avait pas réellement le sens des priorités et encore moins l’esprit assez saint pour pouvoir dire qu’il était le genre à être respectueux. La blague. Colérique. C’est vrai que, parfois, Izaya arbore un visage de marbre, ne laissant aucune émotion transparaitre. Mais voilà, d’autres fois, il ne peut s’empêcher d’être expressif – très, voire trop même. Sans pour autant que le rouge lui monte aux joues, il réagit au quart de tour. Vulgaire, il l’était rarement, mais agressif, il l’était souvent. Alors oui, il en venait facilement aux mains. Si quelqu’un avait quelque chose à lui dire, qu’il le lui dise. Franc comme il était – pour le coup, ça n’a rien d’une qualité – il détestait plus que tous les moins que riens, les froussards et surtout les sales hypocrites. Alors, les messes basses, c’est à éviter. Le trahir alors qu’il vous a accordé sa confiance ? À éviter aussi si vous tenez à votre petit minois. Affreusement orgueilleux. Il aimait sa petite personne et disait que c’était légitime ; un physique ravageur et une façon de faire avec ses conquêtes tout à fait adaptée aux circonstances. Il n’éprouvait que rarement de véritables sentiments pour quelqu’un et, si cela venait à arriver, croyez-moi, ce ne serait pas le coup de foudre. Tout commencerait pas un jeu. Naturellement. Joueur et séducteur, Izaya avait eu plusieurs conquêtes. Autant de femmes que d’hommes. Sauf que parfois, la compagnie des hommes lui était insupportable. Il aimait dominer et les femmes se laissaient plus facilement faire. C’est disproportionné chez lui : il a une incroyable estime de sa personne et quasiment aucune estime des autres. Eh non, notre blondinet n’a pas que des défauts. Il était aussi sociable et extrêmement extraverti, aimant la compagnie et les délires qu’il avait avec quelques uns de ses amis. Il était rare, comme déjà dit, qu’il tienne réellement à quelqu’un, mais lorsque c’était le cas, vous avez tout intérêt à les aimer aussi. Pourquoi ? Parce qu’il était aussi très protecteur. Il n’était peut-être pas sensible, mais il était délicat avec les femmes. Bien qu’il soit bagarreur et, pour faire court, un bad-boy, il savait y faire. Un beau parleur, oui, mais lorsqu’il fallait agir, il était aussi présent. Galant ? Hum, parfois, lorsque sa compagne le méritait. Et surtout lorsque son choix du soir ne s’était pas porté sur un homme. On pourrait aussi dire qu’il était autoritaire et sévère, mais surtout charismatique. Tout opérait naturellement et c’est ce qui lui avait valu un haut grade chez les Chevaliers. Enfin, un dernier trait de son caractère que je ne saurai qualifier comme étant un défaut ou alors une qualité. Izaya est incroyablement possessif. On a la classe ou on ne l’a pas. Bien que son entourage ne soit pas particulièrement grand de taille, la première chose que l’on remarque chez Izawa est sa grande taille. Il avoisine le mètre quatre-vingt sans aucun souci pour pas plus de soixante-quinze kilos en tout. Elancé, il est finement sculpté ; sa masse musculaire n’est effectivement pas réellement à omettre, bien qu’elle ne soit pas non plus particulièrement impressionnante. On ne penserait pas, à vue d’oeil, qu’il est plutôt fort, mais pourtant, c’est le cas. Félin, il est agile et rapide. Effectivement, on lui reconnaîtrait d’avantage sa rapidité que sa force physique ; mais il faut dire qu’être un mauvais garçon depuis plus d’une dizaine d’années lui avait donné de l’expérience en matière de combat de rue. Bref, globalement, voilà à quoi il ressembler. Attaquons-nous donc au lus important ! Son visage, bien sûr. Il n’est pas orgueilleux pour rien voyons. Humph. Un visage anguleux ainsi qu’un teint blafard caractérisaient Izaya, ainsi que des cheveux blonds en bataille qu’il serait vain de tenter de coiffer ou de maintenir en une quelconque coiffure. Ses yeux ne sont pas particulièrement grands, mais ils ont une magnifique couleur miel claire. Une couleur qui, d’ailleurs, n’est que légèrement plus foncée que celle qui colorie ses mèches. Ses oreilles ? Bah, écoutez, des oreilles, simplement. Ses lèvres, quant à elles, étaient fines. Et si vous voulez savoir à quoi ressemble sa langue, vous n’aurez qu’à presser votre bouche contre al sienne ; il s’occupera du reste sans aucun soucis. Son style vestimentaire est plutôt simple, bien que classique. Il aime beaucoup porter des chemises blanches avec de simples vestes noires ainsi qu’une cravate en guise de hauts, mais on le voit aussi souvent avec des t-shirts décontractés ou des hauts plus chauds en hiver. Pour les pantalons, il prenait ce qui lui tombait sous la main. À la pointe de la mode ? Bof, pas spécialement. Oui bon, bien sûr, il arborait aussi l’uniforme des chevaliers. Oh et les lunettes de soleil ! Il adorait ça et rares étaient les occasions où il ne les portait pas. En quelques mots, Izaya était plutôt beau garçon. Du moins, d’après lui. Et ses campagnes d’un soir semblaient d’ailleurs du même avis que lui, soit dit en passant. L’amour, c'est survivre à la vie et vivre pour autrui. Les Sabaku ne sont pas tirés d’un milieu aisé, ne l’ont d’ailleurs jamais été. Ils ont toujours habité à Carda, aussi loin que l’on puisse remonter dans leur passé. Sabaku, désert donc, avait toujours était leur habitat. Ils y avaient évolué et y avaient procréé jusqu’au jour où l’un des descendants, un blond, rencontra une jeune femme venant de la capitale. Ils se marièrent et n’eurent qu’un seul et unique enfant qu’ils nommèrent Izaya. La femme n’étant pas non plus riche, ils élevèrent le nouveau-né dans les meilleures conditions qu’ils pouvaient lui procurer. Ce n’était pas forcément le rêve, mais cela leur convenait. Le père travaillait et réussissait sans trop de mal à nourrir deux bouches en plus de la sienne.
Izaya grandit et on nota avec le passage des années qu’il ressemblait beaucoup à son père. De sa mère, il ne tenait que la blancheur innée de sa peau. Il n’était pas bien turbulent, mais en revanche, il était incroyablement bavard et curieux. Comme tout les enfants – ou presque – vers cet âge où ils apprenaient à parler me diriez-vous. Il posait beaucoup de questions, pourtant, les réponses qu’on lui accordait étaient peu souvent satisfaisantes au goût de notre petit blondinet.
Vers l’âge de dix ans, il commença à avoir ses premiers soucis de gosse. Ou plutôt, de petit garnement. Lors d’une journée ensoleillée de Mai, il revint à la maison, sa chemise blanche noircie et enduite de terre, son pantalon déchiré, son genou écorché, son visage rougi et bouffi. On lui avait volé ses billes, alors il ne se gêna pas pour rendre chaque coup au centuple. Il lui avait d’ailleurs semblé avoir perçu un craquement lorsque son poing rencontra le nez d’un petit garçon de son âge. Le deuxième s’était enfui, alors il s’était retrouvé dans un face à face assez équitable. Et il l’avait d’ailleurs remporté. Ce jour-là, sa mère cria beaucoup. Mais Izaya ne comprenait qu’à moitié ce qu’elle disait, car il ne s’attardait pas sur ses mots, trop excité et trop enjoué qu’il était après cette soudaine montée d’adrénaline. Il venait de découvrir l’art du combat et jamais il ne se sentit aussi bien qu’en cet instant où il vit son adversaire tomber à ses pieds. Et puis, lorsque son père rentra à la maison, il soutint son petit en disant que c’était normal à cet âge. Ce à quoi sa mère répondit en levant les bras au ciel et en priant tous les Dieux que cela n’empire pas avec l’âge. Vaines prières.
Bien sûr qu’on lui avait déjà parlé des totems et de tous les pouvoirs que cela procurait à la personne l’ayant découvert. Mais ce n’était pas pour autant que le petit s’était mis à sa recherche. Au fond, il s’en fichait pas mal. Vers quatorze ans, se battre était devenu son quotidien. Tout les jours, il revenait chez lui avec des bleus ou du sang, un œil au beurre noir ou encore une lèvre fendue. Sa mère avait abandonné l’idée de lui mettre dans la tête qu’il y avait des choses plus importantes, comme l’école. Il n’en avait rien à faire et ses résultats étaient vraiment des plus piètres. Ce fut pour cette raison qu’il cessa d’y aller, passant ses journées avec un groupe d’adolescents plus âgés que lui qui le mirent à l’épreuve de différentes façons. Du bizutage ? En quelques sortes, oui. Il se rappelait d’ailleurs qu’un jour, il n’était pas renter chez lui. Être né à Carda ne lui avait pas épargné la perte dans le désert en pleine nuit. Il avait plût et, apparemment, sa mère s’était fait un sang d’encre pour lui. Mais ce n’était pas pour cela qu’il se rappelait de cette affreuse nuit de Décembre. Mais seulement parce qu’il était tombé sur une scène qui ne lui avait pas plût. Mais alors là, pas plût du tout. Une fillette avec deux de ses propres pseudo-amis. Mais commençons donc par le commencement, histoire de ne pas se perdre dans cet étalage d’encre. Le matin même, ses amis lui avaient dit qu’il ne pourrait pas continuer à traîner avec eux s’il ne passait pas au moins une nuit dans le vaste désert ; apparemment, ils l’avaient tous déjà fait. Il avait accepté, une idée derrière la tête ; il irait se balader au milieu des dunes sablées et reviendrait chez lui le soir venu. Le lendemain, il n’aurait qu’à affirmer avoir passé la nuit dehors en s’entaillant à quelques endroits. Mais il s’était perdu à son propre jeu, la nuit étant tombée bien trop vite et le vent s’étant mis à souffler trop fort pour qu’il puisse revenir sur ses traces. Alors qu’il commençait à apercevoir quelque chose, la pluie s’abattit sur sa tête. Mais cela ne l’empêcha pas de continuer à progresser, à avancer, persuadé que s’arrêter singerait sa fin. Trois silhouettes. Tellement floues, tellement peu précises… Izaya avança d’un pas plus certain et plus pressé, se cachant derrière un rocher assez imposant en s’accroupissant. Il plissa les yeux et nota une chevelure rouge. Et, à sa connaissance, il n’y avait que son ami de dix-sept ans, assez fou et fourbe pour s’être teint les cheveux de cette couleur. En partant de ce principe, il reconnût un deuxième ami à lui en présence de… D’une petite. Elle avait quel âge ? Peut-être le même âge que lui. Peut-être un peu plus jeune aussi. Mais une chose était certaine, c’est que vu comment elle pleurait et criait, elle ressemble vraiment à une gamine. Mais qui était-ce ? Il lui semblait la connaître. Il lui semblait l’avoir déjà vue quelque part. Et que faisait-elle là ? Non, que faisaient les deux autres avec elle ? Même s’il avait l’impression qu’ils faisaient d’avantage des choses d’elle qu’avec elle.
Izaya s’approcha en leur criant d’arrêter. Arrêter quoi ? Il l’ignorait. Mais ils devaient arrêter. Cette petite lui faisait vraiment pitié. Néanmoins, en se faisant remarquer, ses deux amis ne semblaient pas contents du tout. Mais alors là, vraiment pas. L’un d’entre eux menaça la petite en la maintenant au sol tandis que l’autre s’approchait, le poing armé. Un poing qui s’abattit sur le visage d’Izaya qui n’en attendit pas plus pour se mener à une lutte féroce. Mais même en prenant le dessus sur cet adversaire, il n’était pas sorti de l’auberge. Et encore, il n’était pas dit qu’il réussirait à le battre vu la différence d’âge, d’expérience et surtout de force. Il se débrouilla néanmoins pour rester debout assez longtemps pour amener l’autre idiot là à venir aider son ami, lui faisant croire qu’il aurait besoin d’aide ; du bluff, bien sûr. Il profita de cela pour crier à la petite de fuir, de courir loin, très loin. Il la vit le faire. Il vit aussi les autres jurer. Il les vit se tourner vers lui. Et puis, plus rien.
Si en s’écroulant, il ne s’était pas rendu compte de la douleur bel et bien présente, en se réveillant au petit matin, il la sentit. Un peu trop d’ailleurs. Il se releva difficilement et nota son piteux état en se tâtant le corps du bout des doigts. Étrangement, il retrouva bien vite son chemin bien qu’il n’arriva chez lui que vers les coups de midi, échappant néanmoins au soleil de cette heure-ci. Sa mère n’eut pas même le cœur à lui faire une leçon de morale, trop contente de le revoir. Le jour même, il alla à l’endroit où il avait l’habitude de trainer avec son petit groupe ; allait-il se battre ? Il voulait surtout des explications et bien qu’en venir aux poings serait stupide, ça arriverait sans doute. Sauf que voilà, ils étaient tous là sauf les deux qu’il avait vus hier. Il se renseigna auprès des autres et ils lui rétorquèrent qu’ils ne les avaient pas vu depuis hier ; ils en oublièrent jusqu’à lui demander où il avait passé la nuit tant ils semblaient inquiets par l’absence des deux abrutis. Les loups sont à craindre lorsqu’ils sont avec leurs meutes, mais plus leurs nombres baissait, moins ils faisaient les fiers. Ce ne fut qu’alors qu’il remarqua une petite fille, présente dans le bras du plus âgé du groupe. Mais oui, c’est vrai que c’était sa sœur. C’est pour cela qu’il lui avait semblé la connaître. Elle était en sanglots. Elle semblait inconsolable. Lorsqu’Izaya s’approcha d’elle, l’adolescente – elle l’était, maintenant qu’il y voyait plus clair – lui sauta littéralement dans les bras. Des bras engourdis mais qui soutinrent quand même son poids. Son grand-frère se dressa devant le blond de tout son long et lui demanda ce que ça signifiait. Alors, il lui expliqua tout dans les moindres détails.
Elle s’appelait Amy. Elle avait un an de moins qu’Izaya et était très jolie avec sa longue chevelure rousse. Bien vite, elle et le blond devinrent de très bons amis. Atteint l’âge de dix-sept ans, elle lui avoua éprouver des sentiments pour lui. Alors qu’ils marchaient dans le désert, main dans la main – ils le faisaient depuis tout petits déjà – les mots se déversèrent de la bouche d’Amy presque naturellement. Izaya, interloqué, lui demanda de répéter. Son amie ne le fit pas et c’est alors qu’ils échangèrent leur premier baiser. Izaya ne voulait pas de relation amoureuse. Il avait déjà passé plusieurs nuits avec des filles ou des garçons de son âge, mais jusque là, il n’avait jamais envisagé une relation sérieuse. Et surtout pas avec Amy. Pourtant. Pourtant, il répondit à son baiser. Serait-ce possible qu’il l’aime ? Serait-ce possible qu’elle l’aime vraiment ? Serait-ce possible qu’elle l’aime malgré tous ses défauts, malgré son arrogance, son orgueil et tout cela ? Il ne se posait aucune de ses questions. Il était bien avec elle et c’était tout ce qui comptait.
Ce fut ce même jour qu’en continuant leur balade, un fennec sortit de nulle part. Un animal du désert que le blond ne connaissait qu’en photos sur des livres de sa mère. Amy avait déjà trouvé son totem, elle. Izaya, en croisant le regard de l’animal pour la première fois, comprit. Son totem. Amy lui demanda ce qu’il lui arrivait vu qu’il s’arrêta brusquement et Izaya lui relâcha subitement la main, se bouchant les oreilles. Pourquoi criait-elle au juste ? Il le lui demanda d’une toute petite voix et elle assura lui avoir à peine chuchoté les mots. Mais elle cirait toujours. Alors, ça devait venir de lui. Le problème, c’était lui. Ou plutôt, son ouïe. Une ouïe étant devenue atrocement fine. Mais… Serait-ce son pouvoir ? Sans nul doute. Un pouvoir qu’il n’eut pas beaucoup de mal à maîtriser, même si parfois, il entendait ce qu’il aurait préféré ne jamais entendre. Son amulette était une chaîne d’or qu’il gardait toujours sur lui, que ce soit autour de son poignet, de son cou ou uniquement dans sa poche. Il devint Chevalier. Ça lui allait plutôt bien de l’être d’ailleurs. Il menait une vie plutôt heureuse, assez sereine en somme. Jusqu’à au jour où la seule personne qui comptait réellement à ses yeux décéda alors qu’il avait atteint l’âge de vingt-quatre ans.
Izaya ne l’avait pas vue de la journée, alors il se rendit chez elle. Ses parents faisaient partie des rangs des Chevaliers aussi, alors ils n’étaient pas très présents. Ils n’étaient d’ailleurs pas là aujourd’hui. Il monta directement dans sa chambre, comme il avait pour habitude de le faire, et, en poussant la porte, put constater le corps de la jolie femme au sol, imbibé de sang. Du sang. Son sang. Cette flaque rouge où flottait un morceau de papier blanc et où était marqué le nom des deux hommes qui avaient tenté de l’agresser, il y a quatre ans, en plein désert. Son désespoir fut trop grand, son incompréhension trop profonde, sa tristesse trop forte pour pouvoir les décrire avec de simples mots. Alors nous sauterons ce passage. Il jura de se venger. Mais, en attendant, tout ce qu’il pouvait faire était continuer de travailler. Il fut nommé capitaine de sa ville la même année et, à mesure que les jours s’écoulaient, il avait le sentiment que sa vengeance était dérisoire. Ce drôle de sentiment qu’il valait mieux laisser faire les choses. Qu’en fait, les choses étaient déjà faites, la sentence déjà tombée. Il avait le pressentiment qu’ils étaient déjà morts. Mais il ne serait pas apaisé avant de les voir, tous deux, inertes à ses pieds. En attendant, il retrouva le sourire et devint plus arrogant, plus orgueilleux et plus méprisable que jamais. Ce serait dommage, n’est-ce pas, que quelqu’un d’autre s’attache à lui ? Il continua pourtant d’enchaîner conquête sur conquête. Mais ce serait aussi dommage de ne pas profiter des plaisirs de la vie, dont les plaisirs charnels, non ? | Pseudo : Izaya ou simplement Fuyu. .w. Age : 14 cerises ! *^* Sexe : A girl. I think. .o. Ville/Pays : Algérie, Alger. ._. Présence : Je serai présente autant que possible. Comment avez vous connu le forum ? Je vous dirai même pas ! èé Code du règlement : Validé par ~PRINCE ALI~. C’est quand même très bizarre comme mots. .-. On vous offre un truc à boire ? Ice-tea ! Vous avez pas ? Coca ! °-° Un petit mot pour la fin ? :3 CERISES. ♥ |
Dernière édition par Izaya Sabaku le Ven 26 Avr - 21:47, édité 4 fois |
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