Noah n'a pas le totem d'un chien pour rien. En effet, c'est une personne d'une fidélité presque déroutante. Lorsqu'il s'engage avec quelqu'un, il faudrait qu'un évènement extraordinaire ait lieu pour qu'il se détache de lui. Il est prêt à défendre bec et ongles ce à quoi, ceux à qui il tient. Même si la personne n'est pas un modèle pour la société ou si ses actions sont un peu beaucoup répréhensibles, il n'en démordra pas. Tel un chien, celui ou celle qui lui apportera un peu d'affection et/ou d'attention deviendra (trop) vite quelqu'un de plus ou moins important à protéger. C'est d'ailleurs un de ses problèmes fondamentaux : il s'attache bien trop vite aux autres.
S'il est plutôt pacifiste, Noah peut parfois avoir des comportements agressifs. Entre autre, lorsqu'il s'agit de défendre quelqu'un. En effet, il ne supporte pas voir la violence perpétrée envers autrui, et fera tout pour arrêter ce genre de comportement. S'il le faut, il pourra avec un grand paradoxe user lui-même de violence. Car même s'il ne cautionne pas du tout ça, c'est quelque chose qui lui monte aux tripes dans des situations où quelqu'un à qui il tient, ou lui-même, se trouve en difficulté. Ainsi, il pourra vous répondre sèchement si vous l'acculez dans ses derniers retranchements ou mettez en avant un de ses défauts. Ou même vous sauter dessus et se battre comme un chiffonier avec vous pour une broutille qui l'aura fait tiquer. Il est parfois un peu trop impulsif pour son bien... Mis à part ces sortes de petites... crises qui le font sortir de sa bonhommie habituelle de manière totalement surprenante, Noah est foncièrement gentil. Il est extrêmement serviable et n'hésite pas à rendre service au citoyen lambda. Ce trait de caractère est une qualité et un défaut, car si les gens l'apprécient énormément grâce à celui-ci, il n'est pas très difficile de se servir de lui pour faire ce dont on n'a pas envie... Parfois, il se rend compte de ça, mais il attache une assez grande importance à faire plaisir aux autres. Alors cela ne le dérange pas vraiment.
En parlant "d'autres", Noah est une personne qui a besoin d'être entourée. Il déteste la solitude plus que tout. Même s'il n'est pas toujours très doué dans ses relations avec les autres, il lui suffit simplement d'être avec eux pour qu'il se sente bien. Il n'aime pas beaucoup être ignoré trop longtemps. Il ne lui faut pas une attention constante, mais qu'on remarque sa présence de temps à autre ne lui fait pas de mal. Il aime beaucoup la foule, et une de ses plus grandes angoisses est de se retrouver seul et ignoré de tous. De plus, il aime beaucoup travailler en équipe, c'est même un de ses grands plaisirs.
Noah est d'ailleurs très tactile et affectueux. Il aime être en contact direct avec les autres, se plaît à prendre autrui dans ses bras, à être très proche corporellement. Il n'y a cependant jamais rien de vicieux ou pernicieux dans ses gestes, et pourtant, beaucoup se sont déjà mépris à ce niveau-là, ce qui l'attriste grandement, parce qu'il adoooore vraiment les câlins et autres démonstrations d'affection.
S'il est plutôt agréable à vivre et ne cherchera pas à vous ennuyer pour son propre plaisir ou par esprit de contradiction, Noah agit ou parle parfois... de manière totalement irréfléchie. Il n'est pas doué du plus grand tact au monde, et il se rend souvent compte après qu'il aurait pu dire les choses avec plus de douceur. Il agit souvent sur des coups de tête, surtout lorsque, comme dit plus haut, il est question de défendre quelqu'un. Il ne réfléchit pas et fonce tête baissée, peu importe le danger. Certains le trouveront courageux, d'autres diront de lui qu'il est idiot. Noah n'est pas toujours doué avec les mots et ne sait pas tourner de phrases alambiquées comme les grands de ce monde.
L'homme est un utopiste, idéaliste. Il croit en la beauté du monde, des gens et se plaît à penser qu'il y a du bon en chacun de nous. Oui, disons, un peu naïf. Mais pas au point d'être totalement crédule à tout ce qu'on lui raconte.
Noah peut parfois avoir l'air un peu endormi ou à côté de la plaque. Ses gestes sont souvent emprunts de nonchalance, ce qui peut en énerver certains qui lui demandent parfois "de se réveiller" (Ah, il n'a d'ailleurs pas le réveil facile, le matin), ce qu'il fait uniquement s'il se sent en situation de danger. Il aime beaucoup la sieste, d'ailleurs -mais pas sur son temps de travail, ça ne se fait pas !- et semble parfois vivre dans une dimension parallèle où tout bouge moins vite, lui compris. Il arrive néanmoins qu'il manifeste un enthousiasme improbable et incongru envers certaines choses parfois sans intérêt.
Ajoutons à tout cela que Noah est... Totalement désordonné. Sa maison est un capharnaüm sans nom et pourtant, il s'y retrouve très bien. Un "bordel rangé", selon lui. Enfin, l'état de sa maison en ferait tout de même pâlir plus d'un. Maison qu'il ne ferme d'ailleurs jamais à clef. Non, car notre toutou a une claustrophobie plus ou moins importante. Il a d'ailleurs un rituel le soir avant d'aller se coucher : vérifier que toutes le fenêtres sont faciles à ouvrir et que rien n'obstrue chacune des sorties possibles. Non en fait, il est dans un état plutôt avancé de cette phobie. En outre, il n'aime pas les moyens de transports fermés, comme les voitures, dont toutes les vitres doivent être ouvertes lorsqu'il est à l'intérieur. Tant pis s'il gèle.

◊ Il adore les pâtisseries et le chocolat.

◊ Sa couleur préférée est le bleu.

◊ Il adore rire et est un très bon public.

◊ Il n'aime pas les bonbons & la nourriture épicée.

◊ Il déteste qu'on ne le croie pas.

Noah est un homme d'une taille et corpulence respectables. Il se mesure rarement, mais estime être au delà des un mètre quatre-vingts (on ne va pas chipoter, non plus). Il n'est pas malingre, mais absolument pas body-builder. Disons qu'il ne comprends pas ceux qui veulent être "sur-musclés" ; il a ce qu'il lui faut, ce n'est pas quelqu'un de faible physiquement -malgré qu'il puisse par moment le paraître, à son grand désarroi. En effet, il n'est, selon lui, "pas assez large d'épaules". Il ne comprend d'ailleurs pas toujours où peut bien se situer la force dont il est capable dans le corps qu'il possède. M'enfin, il a fini pas arrêter de se poser des questions là-dessus. L'homme possède un tatouage sur tout le flanc gauche, qui continue sur son épaule et le début de son bras. D'une couleur bleu foncé, il représente des signes tribaux qui, d'après lui, font venir la bonne santé.
Noah a un visage plutôt doux, encadré de mèches noires plutôt longues dans lesquelles se perdent parfois quelques reflets bleutés. Il attache souvent ses cheveux, jamais vraiment de la même manière. Il le fait surtout pour ne pas que ceux-ci le gênent dans ses activités. Il pourrait certes les couper mais... Non, en fait, il aime beaucoup ses cheveux. Quand il les relâche, cela lui donne parfois un air féminin. Une de ses amies a d'ailleurs le fantasme de l'habiller un jour en femme. Elle peut toujours courir.
Une des particularités de Noah est sûrement son regard. Ses yeux, d'un bleu saisissant et plutôt indéfinissable, semblent vous sonder de part en part -alors que ce n'est absolument pas le cas. Il ne sonde rien du tout de vous, parce que son sens principal est plutôt l'odorat. Mais il y a parfois méprise et l'on se sent mal à l'aise sous son regard, qui n'a pourtant aucune intention d'insistance.

Au niveau vestimentaire, il est, bien sûr, le plus souvent dans son uniforme vert. Dans d'autres temps, il n'est pas vraiment difficile et se contente souvent d'un simple tee-shirt clair et d'un pantalon foncé. Noah n'est pas quelqu'un de très porté sur les "tendances" et met simplement ce qui lui plaît. Notons néanmoins que malgré ça, ses vêtements sont toujours assez bien accordés. Il se plaît parfois à agrémenter le tout d'accessoires, mais jamais en trop grand nombre. Ses oreilles sont percées de partout, mais il a souvent la flemme d'y mettre les piercings correspondant. Il se doute qu'un jour tout se rebouchera, mais n'en fait pas grand cas.
Le seul accessoire qu'il porte nuit et jour sur lui est son amulette, un anneau large d'un petit diamètre planté dans son lobe droit. Il a une couleur qui ressemble à de l'or vieilli et on peut y voir la gravure stylisée d'une empreinte canine.
Noah n'aime pas beaucoup être "trop" couvert, et ne supporte pas mettre des vêtements trop chauds, ou trop de couches. Il préfère avoir un peu froid que de mettre une doudoune en hiver, par exemple. Notons que la nuit, il dort dans un mignon caleçon bleu avec des petites lunes souriantes. Oui, oui, même quand il neige. Il rajoutera juste une couverture supplémentaire, c'est mieux.

Noah n'a pas eu ce qu'on appelle une vie passionnante et pleine de rebondissements jusqu'ici. Né à Blaoria, il n'a connu que la ville et n'en est jamais sorti.
Il n'a jamais vraiment connu son père, Jonas Campbell, décédé un peu trop tôt. Celui-ci n'est pas mort dans l'exercice de ses fonctions de chevalier, mais absolument bêtement en glissant dans la salle de bain et en se cognant violemment la tête contre le carrelage. Il y a de quoi rire, pour quelqu'un de respecté comme lui, mais avouez que c'est vraiment une manière dramatique de rendre l'âme, surtout pour l'homme dans la force de l'âge qu'il était.
Avant l'accident, Noah et ses parents vivaient dans une maison respectable de la ville. Ils étaient quatre, avec Blackie, un grand labrador noir -le totem de son père- tout à fait adorable. Le petit garçon adorait jouer avec la vieille chienne, et celle-ci fut sûrement la plus proche amie qu'il eut dans sa petite enfance. Il aimait bien monter sur son dos et traverser la maison en criant «yhaaa yhaa!», s'imaginant être un cavalier de renom qui sauverait la veuve et l'orphelin.

Lorsque le tragique décès de son père survint, Noah était âgé de quatre ans. Il se souvient avoir entendu des cris, ceux de maman, et une longue plainte, celle de Blackie. Le petit garçon s'était levé de son lit, pouce en bouche et doudou en main, et s'était dirigé vers la salle de bain avec lenteur, totalement endormi. Il avait passé sa tête par l'entrebâillement de la porte et ses yeux à moitié fermés avaient été frappé par le rouge qu'il n'y avait d'habitude pas dans cette pièce. La suite est un peu floue dans son esprit, d'abord parce qu'il était endormi, ensuite parce que Blackie s'était violemment tournée vers lui, s'arrachant à la douleur de la perte de son maître, et avait poussé Noah dans le couloir, lui faisant comprendre de retourner dans sa chambre. Trop fatigué, il n'avait pas bronché et était parti se recoucher. Sa mère lui avait raconté plus tard que la chienne avait veillé toute la nuit sur le corps de son défunt maître.
S'était ensuivit tout un défilé de personnes dans la maison, autant habillés en vert que d'autres. Le petit garçon n'avait pas très bien compris ce qu'il se passait, mais il se prit un jour à pleurer, parce que papa ne revenait pas. Il pleura encore une fois lorsqu'il dut bien s'habiller et se tenir tranquille, que tout le monde parlait de papa, et que lui, n'était toujours pas là. Il pleura encore quelques autres fois à cause de papa, surtout lorsqu'il compris qu'au final, il ne reviendrait pas du tout.
Peu après, ils avaient déménagé dans un appartement plus petit. La principale source de revenus n'étant plus là, la famille Campbell avait dû faire quelque concessions. Cette période semble être un peu trop sombre pour Noah. Maggie, sa mère -dont le totem était le pin pignon- avait toujours été pour lui quelqu'un bourré d'entrain, de bonne humeur, et d'un sourire à toute épreuve. Et pourtant, il se souvient que le sourire de maman avait très mal passé cette épreuve-là. Longtemps, il fut forcé et les cernes sous ses yeux mirent du temps à s'estomper. Même Blackie ne jouait plus tant avec lui.
Noah détestait l'appartement. Il était trop petit, il ne se sentait pas bien dedans. Et à cause de lui, quelques mois après l'emménagement, maman lui avait dit cette chose affreuse :

«- Mon chéri, on ne va pas pouvoir garder Blackie. C'est trop petit ici. »

Il avait protesté, de toutes ses petites forces du haut de ses cinq ans. Mais si c'était pour le bien de Blackie... Des années plus tard, il demanderait à Maggie si c'était vraiment pour le bien de Blackie ou parce qu'elle lui rappelait trop son père qu'elle l'avait donnée. Et sa mère garderait le silence en esquissant un petit sourire triste. Les adieux furent déchirants et, pour le consoler un peu, ils achetèrent un autre chien, mais beaucoup plus petit, un carlin de couleur sable. Noah le nomma avec goût Boulette -hum...-, s'attacha très vite à l'animal et finit par comprendre qu'il avait une certaine affinité avec les chiens.

Le garçon développa les années suivantes une sorte d'admiration pour les chevaliers. Les souvenirs de son père étant très flous, il se basait sur les récits que lui narrait sa mère avec amour. Les histoires qu'elle racontait sur son père et les chevaliers brossaient d'eux un tableau totalement positif, peut-être parfois exagéré. Mais désireux de savoir qui était son père, Noah écoutait avidement les paroles prononcées et les chérissait plus que tout. Devenir un chevalier et protéger les gens comme son père le faisait devant vite une évidence dans la tête du garçon.
Les autres enfants ne comprenaient pas toujours sa fixation pour cette caste. Certes ils maintenaient l'ordre, mais ils n'étaient pas des dieux et déesses comme le leur narrait parfois Noah. Ce côté un peu bizarre du garçon l'amena à ne pas avoir beaucoup d'amis très proches. Oh oui, bien sûr, les autres l'aimaient bien, il avait ce petit côté innocent et adorable qui donne envie de lui ébouriffer les cheveux en souriant. Mais il était un peu à côté de la plaque et un peu trop rêveur pour qu'ils veuillent passer au stade de "meilleur-ami-je-t'adore-passons-nos-journées-ensemble". Il s'en fichait un peu, il avait l'attention dont il avait besoin, c'était suffisant.
Il n'eut que quelques véritables amis, dont une meilleure amie qui a depuis toujours le fantasme de l'habiller en fille. Ça par contre, il n'a jamais compris et trouve ça absolument dérangé.

Petit à petit, la vie redevint normale pour les Campbell. Même s'il trouvait toujours l'appartement trop petit et faisait souvent des crises pour que sa mère ouvre toutes les portes et fenêtres, pour éviter de tomber dans l'angoisse la plus totale. Sa mère, elle, retrouvait un véritable sourire. Les années suivantes furent douces, très douces.
L'année de ses 15 ans, Boulette tomba d'un peu trop haut et se fit très mal aux articulations, qu'elle avait fragiles. Âgée de onze ans, elle n'était plus toute jeune et cela la fit énormément souffrir. Après avoir passé deux mois presque tout le temps allongée, Maggie prit la décision de la laisser mourir. Il était clair que l'animal n'en pouvait plus et souffrait autant de ses pattes que de la situation dans laquelle il se trouvait. Ce fut un drame pour Noah, qui souhaita qu'ils n'aient plus de chien à la maison. S'il devait se sentir mal de la sorte chaque fois qu'un animal le quittait comme Blackie ou Boulette, il n'était plus question qu'ils en aient.

Néanmoins, le jour de ses seize ans, un petit shiba inu se retrouva dans l'appartement. Sa mère avait bien remarqué que son fils ne se sentait pas très bien en l'absence d'un animal. Elle savait que cela lui ferait un grand bien. Et quel bien ! Lorsqu'il se retrouva en présence de l'animal, Noah eut une sorte de déclic. Pendant une seconde, tous ses sens furent obstrués et il fut coupé du monde extérieur, n'entendant, ne voyant, ne sentant plus rien. Puis, brusquement, presque violemment, tout le percuta en pleine face, il atterrit à genoux sur le parquet, presque essoufflé. Il sentit. Il sentait la peur de sa mère derrière lui, qui ne comprenait pas ce qu'il lui arrivait, il sentait l'odeur du chiot qui jappait de bonheur devant lui, il sentait le jus d'orange pressé dans la cuisine, il sentait, il sentait, il sentait. Au ralenti, il se pencha sur le chiot, qu'il commença à caresser doucement, avant de le prendre dans ses bras. Il eut la furieuse envie de ne plus se détacher de lui et qu'ils soient liés à jamais. Le regard un peu absent, il se tourna vers sa mère, un grand sourire sur les lèvres devant l'évidence qui venait de se faire à lui.

«- Je crois que j'ai trouvé... mon totem, dit-il en caressant le chiot. N'est-ce pas Arthur? »

Le chiot avait aboyé, sa mère soupira, soulagée. Par la suite, ils allèrent rapidement forger une amulette pour Noah, qu'il souhaita en boucle d'oreille, car "ce n'était pas encombrant" et que, de toute façon, il avait "déjà les oreilles percées de partout".

Les années passèrent, durant lesquelles l'adolescent remarqua que son nez était vraiment très sensible aux odeurs. L'odorat qu'il avait acquis en découvrant son totem n'était pas toujours un avantage selon lui. En effet, quoi de plus négligeant qu'un adolescent...? Les odeurs qui flottaient parfois dans la classe n'étaient pas toujours du plus supportable. Il prit néanmoins conscience que ce n'était pas totalement inutile, surtout pour retrouver les objets qu'il perdait dans sa chambre si bien rangée. Il pouvait aussi sentir certaines émotions chez les autres ce qui était plutôt pratique lorsque ceux-ci s'échinaient à les cacher. Il se souvient particulièrement d'un jour où un élève avait répondu à un prof. L'adolescent semblait sûr de lui et les autres riaient aux piques qu'il lançait à l'adulte. Noah avait ri lui aussi, mais pour une autre raison. Son camarade de classe était mort de trouille. Il n'avait pas souhaité se faire rembarrer et cacher sa peur derrière des mots bien placés.

Lorsque fut venu le temps de quitter l'école, c'est avec naturel que le garçon se dirigea vers les chevaliers pour y entamer une formation. L'idée ne l'avait pas du tout quitté depuis toutes ces années, et il comptait toujours atteindre son défunt père par ce biais. La formation ne fut pas facile, car Noah était parfois peu étourdi et manquait légèrement de rigueur, ce qu'il essayait de combler le plus possible par son enthousiasme & son courage un peu idiot.
Il ne réussit pas avec grande distinction mais se retrouva quand même, à son plus grand bonheur, le chevalier qu'il aspirait être depuis si longtemps. C'est donc désormais avec grand plaisir qu'il arpente les rues affublé de son uniforme vert et d'un Arthur toujours aussi joyeux & affectueux.

Pseudo : Blackparadizee~ Age : 19 ans ! (et j'ai pas toutes mes dents, bouhouu) Sexe : I'm a lady. Ville/Pays : Belgium Présence : Mh... Mon ordi est scotché à mes doigts, donc souvent. Comment avez vous connu le forum ? I come from Heroe's SUP ;D Code du règlement : Validé par ~PRINCE ALI♥~ On vous offre un truc à boire ? Une bière pression, ça me ravirait le palais. Ou deux. Ou trois. Ou peut-être le fut, c'est bien aussi, j'aime les futs. Non mais, laissez-moi derrière le bar ça suffira. Un petit mot pour la fin ? :3 C'est joli ici. *S'installe avec son armée de chiots* Sinon, désolée pour la fin super happy-end de mon histoire xD Je suis une bouse pour les fins d'histoire, je le crains.