Messages : 95 Date d'inscription : 04/05/2013 Humeur : ðÐ
Feuille de route Totem/Pouvoir: Age du personnage: Métier: Eden Trees Erudit | Sujet: Eden Trees Dim 5 Mai - 9:17 | |
| Trees Eden Rien n'est vrai, tout est permis Feat: Connor Kenway | Assassin's Creed III | Fiche d'identité Nom : Trees Prénom : Eden Age : 29 ans Lieu de naissance : Juste à côté d'Aesus Groupe : Érudit Orientation : Hétéro Totem : Sa flûte | 14 ans Pouvoir lié au totem : Contrôle des énergies: Lui permet de manipuler l'énergie, notamment celle qui circule dans la terre, et l'utiliser pour diverses choses, comme pour soigner, encourager, détendre etc... Mais aussi pour des applications plus négatives si besoin est.
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Citation Eden un homme qui privilégie la réflexion à l'action, et de par l'enseignement qu'il a reçu, il est du genre à passer sans problème une semaine complète à plancher sur un problème jours et nuits s'il savait qu'au final cela le résoudrait. La difficulté ne lui fait pas peur, au contraire, il aime se lancer des défis, et se dépasser encore et toujours. Sinon, en général, il est quelqu'un de relativement calme, car il passe beaucoup de temps à méditer, en travaillant lentement sa respiration, et c'est un rituel qu'il pratique chaque jours, avant de travailler, se préparant mentalement à ce qui l'attend, et aussi après avoir fini de travailler, repensant à tout ce qu'il a fait pendant sa journée. Sinon Eden aime énormément la nature sauvage, s'il n'est pas dépendant d'elle. En effet, ayant vécu en périphérie d'Aesus, elle a toujours été son cadre de vie, ainsi, elle est devenue pour lui son principal repère. Ainsi, plus elle est présente autour de lui, mieux Eden se porte, mieux il travaille, ce qui explique qu'il aille souvent réfléchir à ses recherches dans une forêt ou un champ. Pour finir, même si son milieu de prédilection est la nature, Eden n'en est pas pour autant associable, il aspire même à trouver l’amour un jour, mais le vrai, et sa principale motivation dans ses recherches est de pouvoir aider un maximum de personnes, ce qui amène à ce qu'il n'aime pas, la souffrance, qu'elle qu'elle soit, une peine d'amour, une amputation, ou autre, car d'une, cela est difficile à supporter pour ceux quoi y assistent, mais cela rejoint aussi son pouvoir, car la souffrance crée une énergie négative, qu'il ressent du fait de son pouvoir... Cependant, quand il doit assister à ce genre de scène, il se force à y assister jusqu'au bout, qu'il aide ou non, sans détourner son attention, en se disant qu'il doit travailler plus, pour éviter que d'autres situations semblables se reproduisent...
Citation Eden est un homme grand, au teint hâlé et aux corps fin. Il n’est pas vraiment musclé, mais possède des muscles fins qui lui permettent une rapidité d’action assez conséquente, bien que rarement utilisée, du fait de son caractère. Il aime bien s’habiller de manière simple, avec des vêtements plutôt amples qui lui autorise confort et souplesse. Côté cheveux, il les porte assez longs jusqu’aux épaules, et n’a pas de coiffure à proprement dit, dans le sens où il change tous les jours. Sa chevelure est sombre et raide.
Citation Il fait chaud cet après-midi, en même temps, nous sommes dans une phase déjà bien avancée de cette saison qu’est la printemps, une superbe période, celle de la renaissance, du renouveau, l’occasion de repartir de plus belle en fermant les yeux sur ce qui est passé, et en les rouvrant sur le futur. Oh bien sûr, je fais allusion aux arbres par exemple, et à leurs nouvelles feuilles qui poussent, à la place des anciennes maintenant mortes, mais alors pourquoi est-ce que je parle de ça comme si c’était un fait qui s’appliquait à nous tous ? Eh bien parce que j’ai passé mon enfance à Aesus, et que c’est l’enseignement que j’y ai tiré. Je me présente, je suis Eden Trees, aujourd’hui jeune érudit d’une trentaine d’années, oui c’est jeune pour un érudit, il faut savoir relativiser, la sagesse vient avec l’âge, alors j’estime pouvoir retirer la qualificatif de « jeune » après dix ou vingt ans de pratique supplémentaire. Aujourd’hui, je suis considéré comme faisant partie d’une des élites de Dena, mais il n’en a pas toujours été ainsi, c’est même plutôt récent, alors finalement, cela ne représente pas le quart de ce que j’ai vécus, ou tout juste, je suis donc toujours teinté par mon ancienne vie. En quoi consistait-elle ? Je repérais un arbre au pied duquel j’avais l’habitude de m’installer lors de mes travaux, ou uniquement pour me reposer parfois. Comme à mon habitude, je m’y adossais et sortis mon calepin et ma flûte. Avant de commencer toute chose, je pris un instant pour respirer, me détendre. Yeux clos, j’essayai de porter la plus grande attention possible aux maximum sons autour de moi, élargissant au maximum ma perception des choses. Une fois quelques minutes passées à pratiquer cet exercice, je pouvais enfin commencer mon travail. Je saisis alors ma flûte, et commençai à jouer. Inutile de décrire la mélodie qui en résulte, il n’y en a pas vraiment, je laisse courir mes doigts au rythme de mes pensées, ce qui donne une mélodie lente et aléatoire. Contrairement à ce que les apparences laissaient penser, je suis en train de travailler, et non de me reposer. Oh, la frontière est assez mince, car pour être efficace, j’avais besoin d’être un minimum détendu, et cela, je pouvais l’être en jouant de la flûte et en respirant correctement. Cette flûte, c’est mon totem. Si j'étais en ville, je ne pourrais pas le porter sur moi, c'est interdit, mais heureusement, je travaille infiniment mieux au calme dans la nature, en dehors de la ville, et j'ai besoin de mon totem pour cela. Ainsi, je choisis de travailler en dehors des murs de la cité, et je n'ai pas à porter mon totem dans cette dernière, ainsi tout le monde est content. Certes, je pourrais canaliser le pouvoir de ce dernier dans mon médaillon, mais je trouve plus confortable d'avoir mon véritable totem pour mes recherches. J’aimais cet arbre, il donnait de l’ombre, et l’air y était frais, comme au pied de n’importe quel arbre, mais il y avait autre chose qui me plaisait, quelque chose de plus intéressé, cet arbre se situait près d’un nœud tellurique, pour faire simple, un croisement entre plusieurs flux d’énergie qui parcourent la terre. Pour n’importe qui d’autre, un nœud de ce type ne signifie rien, pour moi, ils sont la source même de mon pouvoir, et plus je suis proche d’eux, plus mon pouvoir est puissant et moins il me fatigue. Mon pouvoir… Je me rappelais comment je l’avais découvert… Tout en jouant de mon instrument, je me mis, comme souvent, à repenser à mon histoire…
C’était il y a une trentaine d’années, je parle de la date de ma naissance, près de la ville d’Aesus, dans laquelle j’ai grandi comme je le disais, ce qui explique le lien fort que j’entretiens avec la nature, car cette ville est justement l’exemple parfait entre l’Homme et la Nature. En effet, là-bas, pas de destruction de cette dernière au profit de la vie humaine, mais une adaptation, comme si la faune et la flore étaient considérés comme des humains, et que cette ville a été construite pour eux comme pour nous. C’est d’ailleurs les valeurs que l’on m’a appris dès le début de ma jeunesse, le respect des autres, et par autres, j’entends les autres êtres de cette planète, la justice et le besoin des autres pour progresser, et là aussi, par « les autres », j’entends les humains, les animaux, les arbres et autre. Enfin, on m’a inculqué l’importance de la connaissance, et que ma vie devrait être une recherche sans fin du savoir, ce qui peut expliquer mon statut aujourd’hui. Je disais donc que je suis né il y a environ trente ans, jusqu’ici tout va bien, si ce n’est que je n’ai jamais connu mes parents. D’après quelques mots griffonnés rapidement sur un morceau de papier, mon père a été emporté par la maladie alors que ma mère était encore enceinte de moi, quant à elle, elle n’a pas survécu à l’accouchement. On m’a retrouvé avec ces quelques mots au pied d’un arbre, ma mère enroulée autour de moi afin de me préserver du froid. L’arbre en question nous protégeait de la pluie qui tombait ce jour-là, et qui m’aurait certainement tué, déjà que j’ai été trouvé entre la vie et la mort en ayant été à l’abri des gouttes froides… Ne connaissant pas le nom de mes parents, et par respect pour eux, ne voulant pas me donner celui de ceux qui m’ont recueilli, je fus le premier d’une lignée, celle des Trees. Personne ne savait vraiment d’où venait ce nom, mais apparemment, dans une langue dont on sait extrêmement peu de chose, cela se rapporterait à l’arbre, et comme c’est un arbre qui m’a sauvé la vie, ce nom me fût donné, et me convenait très bien. Quant à Eden, il n’y a pas de raison particulière, juste que ça sonnait bien. D’ailleurs, je faisais allusion au nom de ceux qui m’ont recueilli, mais en vérité, je devrais plutôt dire celui qui m’a recueilli, car à ce moment-là, peu de gens étaient prêts à adopter un enfant inconnu, qui plus est, coûterait de l’argent en plus, en même temps, il faut dire que la vie dans cette ville était plus simple que dans la capitale par exemple. Ce fut alors un ermite qui insista pour s’occuper de moi, parce qu’apparemment, la Nature le lui aurait demandé par le biais de son pouvoir, ou quelque chose du genre, même avec moi, et pendant toutes ces années, il était resté assez énigmatique. Son prénom ? Un certain Týr. Je fût nourri avec du lait de vache pendant mes premières années, puis dès que je pus manger, je dû m’adapter au régime alimentaire de mon géniteur, à savoir des plantes, des légumes, des fruits, des graines, de œufs, et un peu de viande, mais en faible quantité. Il me disait qu’il n’y avait pas besoin de manger jusqu’à que l’on n’ait plus faim, c’était d’ailleurs peu recommandé pour développer une activité mentale satisfaisante, car trop manger donne envie de dormir plus que de penser, parce que oui, nous pensions beaucoup. Toutes les valeurs que j’ai cité précédemment, c’est cet homme, Týr qui me les a apprise, mais il m’a surtout apprit que c’est par la pensée que l’on a une première approche avec le monde qui nous entoure, la pensée et l’observation. C’est ainsi que j’ai commencé à passer plusieurs heures par jours à me concentrer sur ma respiration, yeux clos, chaque matin en me levant, et plusieurs fois au court des journées. Pour le reste, elles étaient rythmées par les enseignements de mon père adoptif, dans différents domaines comme les mathématiques, le langage correct, la géographie et d’autres matières qui variaient régulièrement, mais il restait une partie de la journée où j’étais libre. Týr m’expliquait qu’elle sera consacrée à la magie si jamais elle se manifestait quand je vivrais encore avec lui, ce qui fut le cas, mais tout juste. Un de mes cours favoris était l’art, en particulier la musique. L’homme qui s’occupait de moi m’avait alors taillé, d’après mon souhait, une flûte en bois, dans la branche d’un chêne, et j’en jouais comme maintenant, pour m’aider à penser et à réfléchir. Puis j’ai découvert mon totem, vers l’âge de quatorze ans, et il s’est vraiment manifesté au bon moment. Týr, qui commençait à se faire vieux, avait attrapé une maladie, et refusait de se faire soigner, il me disait que c’était à la Vie de décider si son heure était venue ou non. Bien évidemment, je n’accueillais pas ces paroles avec joie, c’était même plutôt l’inverse, et au cours d’une dispute à ce propos, je perdis le contrôle, et brisa la flûte qu’il m’avait sculpté. Instantanément, je m’en suis voulus, et j’ai cherché à m’excuser auprès de Týr, alors ce dernier m’ordonna alors de fabriquer une nouvelle flûte, afin d’éviter que je m’en veuille toute ma vie, et aussi qu’il ne souhaitait pas mourir dans le silence. Alors, sans que je sache pourquoi, quelque chose s’éveilla en moi, et me donnait le sentiment que je devais aller immédiatement à l’arbre sous lequel j’ai été retrouvé. J’y suis retourné très souvent durant toutes mes années passées avec mon père adoptif, sans que je sache pourquoi, j’étais bien près de lui, sauf que cette fois, c’était plus qu’une impression de bien être, c’était une attirance, j’avais besoin d’y aller, comme si c’était vital. Une fois là-bas, je sentais comme une énergie qui se dégageait de l’arbre. Je vis aussi une branche qui conviendrait parfaitement pour ma flûte, droite, régulière. Alors m’excusant silencieusement auprès de l’arbre, je coupais la branche, puis la fis sécher pendant quelques temps. Quand elle fût prête, je taillais ma nouvelle flûte, comme il me l’a été appris. Une fois prête, il ne me restait plus qu’à l’essayer, et c’est alors que la magie se manifesta. Allant auprès de mon maître, alité depuis peu, sentant ses forces l’abandonner, je voulais lui faire entendre le son de ma flûte, afin qu’il me pardonne, et que son souhait soit réalisé, alors je jouais. Au début, je ne sentais rien, puis une énergie m’envahissait peu à peu, sans que je ne sache d’où elle provenait. Autre chose encore, je ne sentais pas cette énergie comme acquise, mais je compris que je pouvais l’assimiler, alors si je pouvais le faire, je devais aussi pouvoir la donner à quelqu’un d’autre, alors je dirigeais ma conscience vers Týr, et pensais de toute mes forces à lui donner cette énergie que je récupérais de je ne sais où, sans vraiment savoir s’il se produisait quelque chose, mais ce que je pouvais constater après avoir fini de jouer, c’est qu’il avait l’air d’aller mieux. Chaque jours je recommençais à lui jouer de la musique, et son était avait l’air de s’améliorer. Puis un jour, il se dit guéri, et m’expliqua que cette flûte était certainement mon totem, et que nous allions pouvoir commencer à étudier la magie. Pendant les années qui suivirent, je me consacrais beaucoup à l’étude de mon pouvoir, et je compris que je pouvais manipuler l’énergie, surement celle de la terre, car j’avais l’impression qu’elle entrait en moi par mes pieds, afin de la redistribuer comme je le souhaitais, que ce soit à moi, à un autre, à un animal ou même à un végétal. Etant donné qu’elle venait du sol, mon maître émis l’hypothèse des nœuds telluriques qui s’avérait juste, mais il me mit cependant en garde, si un nœud tellurique peut me fournir plus d’énergie car il y a plusieurs flux, ces nœuds émettent des rayonnements qui sont, au long terme, nocifs pour la santé. Týr m’enseigna un maximum de choses, puis la vieillesse l’emporta quand j’avais vingt ans, et ça, je ne pouvais rien faire pour l’en empêcher. Après l’avoir enterré, je décidais de partir découvrir le reste de Dena. Pendant huit années, je me suis rendu dans les différentes régions, villes de l’ile, afin d’apprendre un maximum de chose, quelle qu’elle soit, je n’avais pas de but précis, si ce n’étais d’honorer ce que l’on m’avait appris sur la connaissance et sa valeur. Lors d’une dispute, j’appris aussi que mon don pouvait causer douleurs, migraines ou autre en accumulant l’énergie en certains points du corps. Après cela, j’estimais que je devais apprendre à me défendre, mais sans forcément être obligé de tuer, alors j’appris le combat au corps à corps, à main nues, comment désarmer un adversaire et le neutraliser, mais également le tir à l'arc, car c'est une arme dissuasive, et enfin, à manier quelques petites armes telle que des couteau ou des hachettes pour si ma vie se trouvait vraiment menacée un jour, d'autant que j'ai eus un excellent maître, je suis devenu assez bon. Je trouvais aussi d’autres applications à mon pouvoir, en plus de pouvoir redonner de l’énergie à quelqu’un, je pouvais l’utiliser pour le détendre, le rassurer, lui redonner du courage… Toutes utilisations de ce genre. Comprenant que j’avais au final un savoir dans plusieurs domaines plutôt bon, on me recommanda d’aller me présenter afin de devenir un Erudit. J’y avais réfléchis pendant longtemps, il est vrai que d’un côté, cette vie pourrait me convenir, une vie calme, pas de combat et de morts, une vie faite d’étude dans l’optique d’aider un maximum de personnes, tout en pouvant expertiser plus encore mon pouvoir, oui, cette vie était faite pour moi, j’en avais la conviction, alors je me mis en route pour Blaoria, sûrement le meilleur endroit pour trouver ce que je cherchais, un endroit pour devenir Erudit. Arrivé là-bas, sans surprise, je ne pus devenir Érudit immédiatement, cependant, mes capacités me valurent une place dans une école assez prestigieuse où je pus approfondir mon savoir. Quelques années plus tard, après un test long et ardu, je fus accepté en tant qu’Érudit, une chance. J’appris aussi que Týr avait été un Érudit aussi durant sa vie, ce qui tout compte fait, ne me surprit guère. Voici donc où j’en étais…
Les sons qui sortaient de ma flûte cessèrent, et peu à peu mes muscles se relâchèrent, apaisés. Après ce petit instant de détente en musique, je me sentais prêt à commencer mon travail. Je souriais en repensant à ce que j’ai vécus jusqu’ici, puis commençai à réfléchir sur les origines de la magie…
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Dernière édition par Eden Trees le Dim 5 Mai - 15:21, édité 10 fois |
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